16 septembre Aventure et plein air Ghostown Blues : où le passé est présent Contradictions. Ce mot définit bien Ghostown Blues et son propriétaire Greg Hisey.
Slate Fine Art Gallery présente 'Til the Cows Come Home Joe Fafard: rétrospective et renouveau REGINA - Les vaches ne sont pas tout à fait prêtes à rentrer à l’étable. Elles ont plutôt mis leurs...
Rencontre formative d'artistes francophones à Banff Entr'arts: une expérience au-delà de l’art BANFF - 20 artistes ont participé à la sixième édition d'Entr'ARTS à Banff Centre, du 29 août au 5 septembre.
Aide financière disponible pour les familles à faible revenu Les services de prématernelle fransaskois seront facturés REGINA - Le Conseil des écoles fransaskoises a décidé de maintenir sa décision de facturer la prématernelle...
Rentrée scolaire 2017 Casse-tête dans trois écoles fransaskoises La rentrée scolaire est bel et bien amorcée en Saskatchewan. Toutefois, le Conseil des écoles fransaskoises doit composer...
10 septembre 2015 Émilie Dessureault-Paquette (EV) 22670 2015, Société, Bénévolat À la paroisse St-Jean-Baptiste, la foi mobilise les volontaires À Regina, les habitués de la messe se proposent souvent pour aider. Photo: Archives de l'Eau vive (2014) REGINA - Au sein de la seule église francophone de Regina, pas besoin de battre le rappel pour faire participer les paroissiens aux diverses activités organisées. Le bénévolat semble aller de paire avec les paroissiens assistant à la messe du dimanche. En tout cas, c’est le constat à la paroisse St-Jean-Baptiste. Chaque croyant semble engagé d’une façon ou d’une autre dans les activités. Rosalie Umuhoza, membre de la communauté, témoigne : « Il y a plusieurs formes de bénévolat. On peut par exemple servir à la cérémonie. De mon côté, je déplace les gens qui n’ont pas de voitures et qui veulent aller à l’église », explique-t-elle, comme si elle prenait conscience de son implication. « Personnellement je m’investis parce que je suis croyante. Aider les autres fait partie de mes convictions religieuses et de mes plaisirs. J’aide parce ce que j’ai déjà obtenu de l’aide de la paroisse. L’église m’a soutenue. Elle m’a équipée lorsque je n’avais rien », détaille Rosalie Umuhoza. Dans les activités à venir, l’église prévoit le traditionnel souper paroissial vers le début du mois d’octobre. Une date à officialiser, en attendant justement de confirmer la liste des bénévoles. « Il n’y a généralement pas de problème pour obtenir l’aide des uns et des autres. Les volontaires sont engagés au sein de la paroisse. Ils sont là au moins le dimanche pour aider, d’une quelconque façon. Il s’agit aussi bien d’anciens membres que de nouveaux arrivants. Ce souper constitue un rendez-vous important pour nous. C’est un moment de partage avec les plus démunis et pour se faire connaître des autres paroisses du diocèse », indique Yvette Ibenda, assistante paroissiale, sans cacher pour autant l’intérêt d’un tel événement pour renflouer les caisses. « En tant qu’immigrant, en tant que chrétien, et en tant qu’être humain, on a besoin de s’entraider », conclut Rosalie Umuhoza. Balises Dossier bénévolat Partager Imprimer