Courrier du lecteur 27 avril 2017 Un projet pour les amateurs d’oiseaux Un projet quinquennal ambitieux (c'est le moins qu'on puisse dire!) vient d'être lancé dans notre province. Il a pour but de cartographier la présence et l'abondance de tous les oiseaux nicheurs dans l'ensemble de la Saskatchewan, afin de produire un atlas des oiseaux nicheurs.
21 avril Littérature « De nouvelles voix littéraires : création et valorisation d’un patrimoine... Colloque littéraire à Saskatoon SASKATOON - Le 25 mars dernier La Troupe du Jour de Saskatoon accueillait un premier colloque littéraire à son centre de production.
Une cause qui pourrait changer le statut légal du préscolaire au pays Recours judiciaire envisagé par des parents de Regina ST-DENIS - Le 9 avril dernier, les députés de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) réunis à St-Denis ont voté pour offrir un appui...
Campagne “Laisse tout tomber et lis” Les Saskatchewannais se mobilisent pour sauver les bibliothèques Près de 6 000 Saskatchewannais, dans 85 communautés, ont répondu à l’appel pour la démonstration « Laisse tout tomber et lis /...
Un appel au retour de Les Mots d’ados Lancement d'un recueil de jeunes auteures fransaskoises REGINA - Le concours d’écriture Les Mots d’ados n’existe plus. À défaut du concours, un recueil comprenant...
Une troisième édition modifiée L’équipe de Regina remporte Le Grand Quiz 2017 REGINA - La finale du Grand Quiz 2017 s’est déroulée le 8 avril dans les studios de Radio-Canada à Regina.
1 février 2020 Lili Mercure (Acadie Nouvelle) 30494 Communication, Politique Médias sociaux : les politiciens face à la haine ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Trou de cul, imbécile, french fuck, pomme pourrie et idiot, sont quelques exemples d’insultes reçues par les politiciens sur les réseaux sociaux. Si leurs décisions ne font pas toujours l’unanimité, nos élus méritent-ils une telle pluie d’injures? Certains croient que c’est le prix à payer. D’autres diront plutôt qu’il faut éviter de banaliser le phénomène des trolls. Les médias sociaux ont changé la relation entre les électeurs et les élus. Facebook et Twitter permettent aux politiciens de tâter le pouls des citoyens. Des outils incontournables afin de pouvoir prendre des décisions éclairées. Seul hic : les dérapages d’internautes s’invitent dans le quotidien des politiciens. «On se fait ramasser pas à peu près. On n’est pas épargné», souligne Isabelle Thériault, députée libérale provinciale de Caraquet. Mme Thériault avoue qu’elle doit parfois supprimer des messages haineux sur ses réseaux sociaux. La gestion de ceux-ci n’est pas de tout repos. «Ça prend énormément de temps à gérer. Je ne vais pas passer des heures là-dessus.» Même coup de sonde pour Megan Mitton, députée provinciale de la circonscription de Memramcook-Tantramar pour le Parti vert. «C’est important de surveiller ce qui se passe parce qu’il peut y avoir des trolls. Ma plus grosse préoccupation est que les fausses informations ne se propagent pas.» Les trolls sont des personnes qui publient des messages tendancieux sur les plateformes web dans le but de créer des polémiques. Il faut garder un œil sur ses pages, font remarquer les députés. Néanmoins, Mme Mitton évite de lire les commentaires haineux à son égard pour son bienêtre. Elle a d’ailleurs dû embaucher un gestionnaire des réseaux sociaux.. Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal Acadie Nouvelle Partager Imprimer