1 mars Écoles fransaskoises Décès de la première enseignante de l’École canadienne-française de Saskatoon Hommage à Monique Rousseau 1960-2017 SASKATOON - Le 5 février dernier, des centaines de personnes se sont rendues au pavillon élémentaire de...
Nouvelle programmation en français à la Regina Public Library La Regina Public Library a commencé l’année sous le signe du bilinguisme en offrant ses premiers « Clubs de...
La FFS allège sa structure de gouvernance La Fédération des francophones de Saskatoon a tenu une assemblée générale extraordinaire de la le 9...
Des états généraux… ça fait quoi? Trouvant leur origine au XIIIe siècle en France, les états généraux, qu'on appelait alors l'Assemblée des états, étaient...
12 novembre 2020 Emmanuel Masson 18265 Communautaire, Gravelbourg Une journée de souvenirs à Gravelbourg La communauté de Gravelbourg a pris le temps de célébrer le jour du Souvenir le matin du 11 novembre 2020. L’événement était organisé par la Section Gravelbourg 173 de la Légion royale canadienne, et animé par Tracy Lagacé. Maria Lepage, présidente de l’Association communautaire fransaskoise de Gravelbourg (ACFG) a assisté à l’événement. Elle raconte que près de 50 personnes se sont rassemblées au cénotaphe du village peu avant 11 heures, lorsque la cérémonie a commencé. Daniel Sutherland a chanté l’hymne national pour débuter la cérémonie et la chanson God Save the Queen pour la conclure. La communauté de Gravelbourg abrite deux vétérans de la Deuxième Guerre mondiale : Léo Bouvier et Ed Janis, âgés respectivement de 98 et 99 ans. Après avoir observé une minute de silence, Elphie Bouvier a fait la présentation de l’acte de souvenir. L’événement, qui a duré une vingtaine de minutes, a aussi inclus une prière, la lecture du poème In Flanders Fields et la lecture du nom de tous les morts au combat des régions de Gravelbourg, Coderre et Bateman. Une galerie de couronnes de fleurs a été installée pour eux dans le salon du Club Lion de Gravelbourg. L’événement s’est déroulé dans des conditions hivernales : beaucoup de neige était tombée et les participants ont dû braver une température ressentie de -18 °C. « On a gelé », commente Maria Lepage. Toutefois, cette dernière est déçue que « pas un mot de français n’ait été prononcé durant la cérémonie », que ce soit dans la prière, dans le poème ou dans l’hymne national. « Je vais leur envoyer une lettre officielle à ce sujet », indique Maria Lepage. Après tout, les combattants francophones, eux aussi, ont droit à un hommage dans leur langue maternelle. Balises Jour du souvenir Partager Imprimer