14 février Théâtre Oskana Un programme double pour débuter la saison 2017 Tremblay et Barbeau au Théâtre Oskana Le Théâtre Oskana présentait, du 19 au 22 janvier dernier, Surprise! Surprise! de Michel Tremblay et Manon Lastcall de Jean...
PayPal gèle le compte d'un organisme canadien de médias à cause du mot "Syrie" Une dérive inquiétante de Paypal Le service de paiement en ligne PayPal a gelé le compte d'une organisation nationale de journaux canadiens lorsqu'un hebdomadaire...
La Troupe du Jour présente Bousille et les justes Pour sa pièce communautaire de la saison 2016-2017, La Troupe du Jour présente une pièce majeure de la dramaturgie...
Les archives de l’Eau vive maintenant sur le Web Depuis sa création, en 1971, le journal l’Eau vive a consigné dans ses pages de nombreux moments de l’histoire...
Après plus de 100 ans d'absence Les bisons de retour dans le parc national Banff Les bisons paissent de nouveau sur les versants est isolés du parc national Banff après une absence de plus d'un siècle.
18 juin 2019 FAJEF 20135 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer