10 novembre Moose Jaw Plus de 85 zombies et humains se sont affrontés Les morts-vivants ont envahi Moose Jaw Les zombies ont envahi Moose Jaw lors de l'évènement Zombie vs humain auquel 85 personnes ont participé le 29 octobre 2016....
Entretien avec Roméo Dallaire Le génocide au Rwanda était une guerre contre l’humanité. Roméo Dallaire est un ancien combattant de ce conflit....
Le « mieux-être » au cœur du Rendez-vous fransaskois 2016 SASKATOON - C’est sous le thème du « mieux être personnel et communautaire » que s’est...
Le Campus Saint-Jean honore un de ses anciens étudiants Laurier Gareau reçoit le Prix d’honneur Saint-Jean SASKATOON - Le 5 novembre dernier, à l’occasion du Rendez-vous fransaskois qui se tenait à Saskatoon, le doyen du Campus...
Anne Leis reçue au sein de la Compagnie des Cent-Associés francophones La Dre Anne Leis, de Saskatoon, a été reçue au sein de la Compagnie des Cent-Associés francophones. Elle a...
17 décembre 2014 Jean-Pierre Picard (EV) 37607 2014, AJF - Association jeunesse fransaskoise, Société, Jeunesse Le Parlement jeunesse fransaskois de l’AJF: Une expérience qui laisse sa marque Lundi matin. Dans quelques minutes le local de l’Association jeunesse fransaskoise (AJF) grouillera d’élèves de l’École canadienne-française de Saskatoon qui profitent de l’heure du dîner pour venir faire un tour. Le fait d’être logé dans la partie « communautaire » de l’école offre à l’AJF une occasion de proximité avec une partie de sa clientèle. À travers tout ce va et vient, son personnel s’affaire à clore le dossier du 19e Parlement jeunesse fransaskois (PJF) qui a regroupé une soixantaine de jeunes au parlement provincial à Regina la semaine dernière. Parmi ceux-ci on retrouvait 42 élèves d’écoles fransaskoises et 19 provenant du programme d’immersion. Au delà d’un exercice d’initiation au système parlementaire, le directeur général de l’AJF, Julien Gaudet, voit dans le PJF une occasion de développer un véritable esprit d’équipe. Ce sont les participants, sélectionnés selon une lettre de motivation de 250 mots, qui élaborent le contenu du PJF. « L’apprentissage du processus est encore plus important que les débats eux-mêmes » affirme monsieur Gaudet. Il a lui-même participé à plusieurs éditions du PJF et garde un excellent souvenir de l’expérience. Les organisateurs tentent d’avoir un mélange d’enjeux controversés et de sujets plus légers. Cette année, les projets de loi allaient de la peine de mort à la pose des pneus d’hiver obligatoire. Une année précédente, la question de l’avortement avait soulevé des passions alors qu’un projet de loi sur l’obligation pour chaque foyer d’avoir au moins deux poules avait donné lieu à des échanges plutôt loufoques. La motivation pour participer au PJF varie d’un jeune à l’autre. Certains ont un véritable intérêt pour l’aspect politique alors que d’autres apprécient surtout le côté social de l’activité. Mais quelle que soit la raison d’y participer, le PJF laisse sa marque. Roxanne Denis, enseignante à Vonda, a participé à 5 PJF alors qu’elle était étudiante. Cette année, elle donnait un atelier aux participants. Fait intéressant à noter, dans la foulée du resserrement des mesures de sécurité, le parlement de la Saskatchewan est le seul au pays qui ouvre encore ses portes à ce genre d’activité. Monsieur Gaudet a souligné l’importante collaboration de Dan D’autremont, le président de l’Assemblée législative, pour la tenue de l’événement. Balises PJF Partager Imprimer