29 octobre Agriculture et environnement Changer la manière dont on fait les choses Le St. Denis National Wildlife Area démystifié Le 18 octobre 2016, le Global Institute for Water Security de l'Université de la Saskatchewan a invité les gens de la...
Un cadre du CÉF devient président de l'APF De l’huile sur un feu presque éteint? L’élection d’un employé cadre du Conseil des écoles fransaskoise à la présidence de...
Maman j'ai peur!!! L'après Trump: lendemains électoraux inquiétants? Que se passera-t-il si Donald Trump ne reconnaît pas sa défaite? Il y a beaucoup de mécontentement, de colère, de frustration et de peur chez...
Décès d'Omer Archambault Le juge Omer Archambault, originaire de Duck Lake, est décédé paisiblement le 19 octobre 2016 à...
Symposium des parents 2016 L’enfant était au cœur des discussions Environ 150 personnes ont participé à l’édition 2016 du Symposium des parents, organisé par l’Association...
10 septembre 2015 Sébastien Németh 21546 2015, Éditorial, Bénévolat Plus le temps Réflexion sur le bénévolat Nous n’avons plus le temps de rien. Plus le temps de mobiliser son énergie pour organiser notre évènement communautaire. Plus le temps de passer des heures en réunion pour faire germer les contours du projet. Plus le temps de rester devant l’ordinateur, à se gratter le cuir chevelu pour écrire la demande de subvention. Plus le temps de remplir les fichiers informatiques, calculette à la main, pour évaluer son budget. Plus le temps pour surveiller fébrilement le compte en banque et vérifier l’arrivée de l’argent. Si un évènement a lieu, nous n’avons plus le temps de battre le rappel pour que les autres viennent aider à préparer la salle. Plus le temps d’installer les tables, les chaises. Plus le temps d’aller au supermarché acheter la bouffe pour 250 personnes affamées. Plus le temps de s’installer en cuisine pour émincer, découper, éplucher, trancher, saupoudrer…bref…pour préparer quelque chose et nourrir les visiteurs. Plus le temps d’enfiler un tablier et d’empoigner une louche pour servir les spectateurs. Plus le temps de passer la soirée, l’oreille collée au combiné téléphonique pour réclamer des dons. Plus le temps d’enfiler un T-shirt fluo pour renseigner et guider les gens (avec le sourire). Plus le temps de rester jusqu’à 2 h du matin pour ranger, nettoyer, éponger et laver la salle. Plus le temps de s’engager dans un conseil d’administration. Plus le temps d’examiner des finances abstraites qui diminuent comme peau de chagrin. Plus le temps d’orienter des décisions stratégiques. Plus le temps de concilier bénévolat, travail, loisir et vie de famille. Et si le bénévolat, le soutien à son groupe, c’était tout ça à la fois? Et si la communauté c’était le travail et le loisir? Et si la communauté c’était une famille? La communauté c’est nous. Nous sommes la communauté. Lui consacrer du temps, c’est se donner du temps à soi. Partager Imprimer