5 octobre Arts et culture Être ou ne pas être (protégé) ? La culture à l’ère numérique Les 10 000 participants aux pré-consultations sur la politique culturelle ont identifié deux priorités : la visibilité...
Tabou, No More: parler ouvertement de la santé mentale Pourquoi vouloir à tout prix démanteler le tabou autour de la santé mentale, faire face à cet éléphant...
Rentrée parlementaire et francophonie Les couloirs du Parlement, déserts depuis la relâche estivale, reprennent vie cette semaine. Ainsi s’ouvre un nouveau chapitre...
Les tribunaux pour morceler le Protocole des langues officielles dans l’enseignement? Trois organismes ont réclamé mi-septembre la modernisation des ententes nationales en éducation qui lient le...
"Comment ai-je bien pu me rendre ici?" - Marie-France Kenny L'autre soir, alors que je repensais à ma merveilleuse journée après avoir reçu la distinction de l’Ordre des...
18 juin 2022 AJEFS 8111 Chronique juridique Les modifications à la Loi sur le divorce (1) Le premier changement à la loi vise la terminologie des termes « garde » et « accès ». Ils sont remplacés par les termes « temps parental » et « contact ». Les changements de termes ont aussi eu un impact sur les ordonnances du tribunal, notamment en ce qui concerne les ordonnances parentales et les ordonnances de contacts, autrefois appelées ordonnances de garde ou d’accès. Une ordonnance parentale est celle qui comprend du temps parental et une responsabilité décisionnelle. Le temps parental est le temps alloué avec l’enfant selon un horaire précis et comprend le pouvoir de prendre des décisions quotidiennes visant l’enfant. Une décision quotidienne peut être, par exemple, le fait de permettre à un enfant de dormir chez son ami. La responsabilité décisionnelle vise l’autorité d’un parent à prendre part aux décisions autres que quotidiennes. Ces décisions visent des aspects plus complexes de la vie de l’enfant, dont la santé, l’éducation, la spiritualité et les activités parascolaires majeures. L’ordonnance de contact est celle qui permet à un tier, une personne n’étant pas le parent de l’enfant, d’avoir des contacts avec celui-ci. Cette ordonnance ne permet pas à cette personne d’avoir l’autorité pour prendre des décisions touchant la vie de l’enfant. Balises AJEFS divorce Partager Imprimer