20 juillet Théâtre Oskana Mise en lecture d'une création de Martine Noël-Maw Ernest Duffault dans l’ombre de Will James REGINA - Le 25 juin 2016, le Théâtre Oskana de Regina conviait un public restreint à la mise en lecture du texte en...
Étienne Fletcher a le vent des Prairies dans les voiles Après avoir triomphé, en 2015, à Nouvelle Scène puis au Chant’Ouest, Étienne Fletcher se dirigera vers le...
Un collectif de parents fransaskois lance un appel à l'unité Le Collectif des parents inquiets et préoccupé a émis un communiqué qui fait appel à l'unité pour lutter...
Une refonte des statuts pour donner une meilleure représentation régionale Report de l'Assemblée annuelle de l'AJF « On veut assurer la meilleure représentation possible sur notre CA de la communauté et de ses besoins » -...
Requiem pour un matin de septembre : hommage à des vies anéantis Le 11 septembre 2001. Quatre segments, six personnes, six vies bouleversées et dans la plupart des cas anéanties par le drame des...
17 décembre 2018 Laurent Desrosiers 27082 Archives, 2018, Les timbrés Timbres créés par des prisonniers pour Noël Timbres créés par des prisonniers pour Noël The Catholic Register du 18 novembre nous annonce cinq nouveaux timbres de Noël pour la Cité du Vatican. « Est-ce une surprise ? » vous me demandez. Oui et non. À ce temps-ci de l’année, on s’attend à ce que pratiquement tous les États produisent des nouveaux timbres pour commémorer Noël. La surprise est que les modèles, c’est-à-dire les peintures qui les ont inspirées sont le produit du pinceau d’un prisonnier condamné à perpétuité dans un pénitencier de Milan, Italie. Mauro Olivieri, chef du Bureau philatélique du Vatican dit que « confier la création des nouveaux timbres de Noël à un prisonnier condamné à perpétuité est un signe d’espoir, de confiance et de foi dans son prochain, de comprendre son habilité d’admettre le mal qu’il a fait et de se réhabiliter. ». Marcello D’Agata est l’artiste. Le choix d’œuvres de cet artiste est une réaction à un appel du Pape François à la compassion envers les prisonniers et à faire plus d’efforts pour faire comprendre que la prison n’est pas la fin d’une vie criminelle, mais le commencement d’une vie nouvelle. Au cours de sa jeunesse, D’Agata ne pouvait pas résister à l’envie de dessiner dès qu’il se trouvait devant une feuille de papier. « Mais ce n’était que du barbouillage ! » affirme-t-il. Les choses ont changé en 2013, quand la direction du pénitencier a accordé à un groupe de prisonniers le privilège de poursuivre des cours d’art graphique. La peinture est maintenant plus qu’un hobby pour D’Agata. Elle permet à son imagination de s’échapper des murs de la prison. « L’amour de l’art », dit D’Agata, « a réveillé en moi la partie de moi-même que j’ignorais parce qu’elle était cachée par les ténèbres qui ont dérobé ma vie ». L’illustration ci-dessous nous montre D’Agata mettant les touches finales à une peinture de Marie regardant vers le ciel pendant que l’archange Gabriel approche avec un bouquet de lys blancs. Partager Imprimer