Aventure et plein air 14 juillet 2016 Des coins à découvrir en français dans le Sud de la Saskatchewan
13 juillet Communautaire Consultation de Patrimoine canadien à Regina: "un vent d'optimisme" Nous ne voulons plus parler de Feuille de route, mais plutôt d’un Plan d’action. » C’est ainsi que le...
Le CSF parle de transparence et de rétablir la confiance des parents Lettre des parents: Bernard Roy doit démissioner Nous demandons la démission de M Roy. C’est la chose morale et honorable à faire. Les parents doivent participer aux...
L’école francophone et les Néo-Canadiens De plus en plus, on voit l'immigration francophone comme le moyen de changer le cours de l’histoire qui voudrait que la langue...
Portrait d'un homme passionné Denis Desgagné, en première ligne contre l'isolement identitaire Le parcours de M. Desgagné débute en Outaouais, au Québec. Il se souvient qu'enfant, lorsque les balades en voiture avec son père les...
Les femmes et la Francophonie Trop souvent, nous oublions de célébrer l’engagement et la volonté de franco-canadiennes qui ont lutté pour nous...
17 décembre 2018 Laurent Desrosiers 27082 Archives, 2018, Les timbrés Timbres créés par des prisonniers pour Noël Timbres créés par des prisonniers pour Noël The Catholic Register du 18 novembre nous annonce cinq nouveaux timbres de Noël pour la Cité du Vatican. « Est-ce une surprise ? » vous me demandez. Oui et non. À ce temps-ci de l’année, on s’attend à ce que pratiquement tous les États produisent des nouveaux timbres pour commémorer Noël. La surprise est que les modèles, c’est-à-dire les peintures qui les ont inspirées sont le produit du pinceau d’un prisonnier condamné à perpétuité dans un pénitencier de Milan, Italie. Mauro Olivieri, chef du Bureau philatélique du Vatican dit que « confier la création des nouveaux timbres de Noël à un prisonnier condamné à perpétuité est un signe d’espoir, de confiance et de foi dans son prochain, de comprendre son habilité d’admettre le mal qu’il a fait et de se réhabiliter. ». Marcello D’Agata est l’artiste. Le choix d’œuvres de cet artiste est une réaction à un appel du Pape François à la compassion envers les prisonniers et à faire plus d’efforts pour faire comprendre que la prison n’est pas la fin d’une vie criminelle, mais le commencement d’une vie nouvelle. Au cours de sa jeunesse, D’Agata ne pouvait pas résister à l’envie de dessiner dès qu’il se trouvait devant une feuille de papier. « Mais ce n’était que du barbouillage ! » affirme-t-il. Les choses ont changé en 2013, quand la direction du pénitencier a accordé à un groupe de prisonniers le privilège de poursuivre des cours d’art graphique. La peinture est maintenant plus qu’un hobby pour D’Agata. Elle permet à son imagination de s’échapper des murs de la prison. « L’amour de l’art », dit D’Agata, « a réveillé en moi la partie de moi-même que j’ignorais parce qu’elle était cachée par les ténèbres qui ont dérobé ma vie ». L’illustration ci-dessous nous montre D’Agata mettant les touches finales à une peinture de Marie regardant vers le ciel pendant que l’archange Gabriel approche avec un bouquet de lys blancs. Partager Imprimer