4 juillet Écoles fransaskoises Les artistes en herbe font belle impression Exposition d’arts de l’École Ducharme « Wow! » semble avoir été l’exclamation la plus utilisée lorsque la galerie d’art organisée...
Près de 700 personnes au Festival culinaire africain à Regina REGINA - Retour sur le Gala culinaire africain qui a attiré près de 700 personnes le 18 juin 2016 à Regina.
La Saint-Jean-Baptiste en Saskatchewan Compte rendu et photos des célébrations de la Saint-Jean-Baptiste à Saskatoon, Bellegarde, Gravelbourg et Zenon Park.
À Montréal: jeunesse et francophonie à l'avant plan jusqu' au 11 juillet Jusqu'au 11 juillet, le fait français sera à l'honneur à l'Université de Montréal puisque l'institution...
Privée de financement et de personnel depuis avril 2015 Quel avenir pour la Fédération provinciale des Fransaskoises? La Fédération provinciale des Fransaskoises (FPF) est en mode survie. Sans aucun financement depuis avril 2015, qu'elle soit...
1 février 2020 Lili Mercure (Acadie Nouvelle) 30414 Communication, Politique Médias sociaux : les politiciens face à la haine ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Trou de cul, imbécile, french fuck, pomme pourrie et idiot, sont quelques exemples d’insultes reçues par les politiciens sur les réseaux sociaux. Si leurs décisions ne font pas toujours l’unanimité, nos élus méritent-ils une telle pluie d’injures? Certains croient que c’est le prix à payer. D’autres diront plutôt qu’il faut éviter de banaliser le phénomène des trolls. Les médias sociaux ont changé la relation entre les électeurs et les élus. Facebook et Twitter permettent aux politiciens de tâter le pouls des citoyens. Des outils incontournables afin de pouvoir prendre des décisions éclairées. Seul hic : les dérapages d’internautes s’invitent dans le quotidien des politiciens. «On se fait ramasser pas à peu près. On n’est pas épargné», souligne Isabelle Thériault, députée libérale provinciale de Caraquet. Mme Thériault avoue qu’elle doit parfois supprimer des messages haineux sur ses réseaux sociaux. La gestion de ceux-ci n’est pas de tout repos. «Ça prend énormément de temps à gérer. Je ne vais pas passer des heures là-dessus.» Même coup de sonde pour Megan Mitton, députée provinciale de la circonscription de Memramcook-Tantramar pour le Parti vert. «C’est important de surveiller ce qui se passe parce qu’il peut y avoir des trolls. Ma plus grosse préoccupation est que les fausses informations ne se propagent pas.» Les trolls sont des personnes qui publient des messages tendancieux sur les plateformes web dans le but de créer des polémiques. Il faut garder un œil sur ses pages, font remarquer les députés. Néanmoins, Mme Mitton évite de lire les commentaires haineux à son égard pour son bienêtre. Elle a d’ailleurs dû embaucher un gestionnaire des réseaux sociaux.. Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal Acadie Nouvelle Partager Imprimer