2 juin Les noms d'ici La Roche Miette (ou Mâyatihk?), le Gibraltar de Jasper À l’entrée de la vallée de Jasper se dresse, tel un sphinx, une vigie gigantesque, la Roche Miette.
La Société historique de la Saskatchewan : partenariats et nouvelles orientations SASKATOON - À l’Assemblée annuelle de la Société historique de la Saskatchewan il fut question du...
La musique traverse les générations à Ponteix PONTEIX - Les musiciens Annette Campagne et Dave Lawlor ont réalisé une vidéo dans le cadre du Projet Musique des...
De nouveaux espaces à Saskatoon pour le Collège Mathieu Le jeudi 19 mai dernier le Collège Mathieu a inauguré ses nouveaux espaces du campus de Saskatoon.
Assemblée annuelle de la Fédération des aînés fransaskois Faute de financement, les aînés misent sur les partenariats Même avec une diminution de son financement, la Fédération des aînés fransaskois (FAF) est demeuré...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 5217 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer