22 février Postsecondaire L’université franco-ontarienne ira de l’avant La députée provinciale NPD, France Gélinas, avait déposé le projet de loi 104 en novembre 2015, adopté...
Survivre au Sénat: l’initiation de Maria Chaput en trois moments clés « Je n’avais jamais rêvé d’être sénatrice », déclare celle qui a...
Le Collège Mathieu, un point de départ pour une carrière dans la petite enfance La grande aventure de la petite enfance Hind Rami, originaire du Maroc, s’est établie en Colombie-Britannique avant de s'installer en Saskatchewan il y douze ans. ...
Le bilinguisme aide à l'agilité mentale selon une étude Les enfants bilingues sont meilleurs que leurs camarades monolingues à un certain type de contrôle mental et ceux qui sont les plus...
La Saskatchewan est la grande récalcitrante Première rencontre des ministres de l'environnement en dix ans Les ministres de l'Environnement du pays se sont contentés d'annoncer leur désir de collaborer encore, à la suite d'une...
10 septembre 2015 Martin Kakra-Kouame (EV) 24935 2015, Société, Bénévolat Bénévolat: Les associations s’adaptent comme elles peuvent Éric Lefol, directeur général de la Fédération des francophones de Saskatoon Photos : Martin Kakra-Kouame (2015) SASKATOON - Parfois confrontées au manque de bras, les associations doivent trouver des solutions alternatives pour organiser leurs activités. Le pavillon francophone du Folkfest de Saskatoon, ce sont en moyenne 5 500 à 6 000 visiteurs en trois jours. Après la Fête fransaskoise, il constitue l’évènement communautaire le plus « consommateur » de bénévoles. Lors de l’édition 2015, Eric Lefol, directeur général de la Fédération des francophones de Saskatoon (FFS), organisateur principal du pavillon, n’a pas caché que « la mobilisation des bénévoles avait été un énorme défi cette année ». Balises Dossier bénévolat Partager Imprimer