13 décembre Juridique Les francophones n’ont pas demandé de le rétablir Retour du programme de contestation judiciaire Le retour du Programme de contestation judiciaire du Canada (PCJ), aboli par les conservateurs en 2006, est passé de promesse libérale à...
« Débrouillage » gratuit du signal pendant six mois TFO lance une nouvelle offensive hors Ontario Profitant d’une porte ouverte par le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC), le diffuseur éducatif public...
Un nouvel accord multilatéral La Société Santé en français se réjouit L'engagement du discours envers les soins de santé et une confirmation de l’engagement envers les langues officielles, a...
Un peuple sans histoire – l’arrêt Caron et les francophones de l’Ouest « Eh bien, les francos en Saskatchewan, vous êtes quoi, une quinzaine de personnes? », a demandé un ami la semaine dernière,...
Reportage vidéo réalisé par CFRG Formation en leadership offerte à Gravelbourg GRAVELBOURG - 80 élèves de la 7e à la 9e année des écoles fransaskoises ont acquis des notions et des...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16465 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer