26 novembre Musique Francotronik : musique techno et lumières fluo pour la 3e édition REGINA - Décor tout blanc à éclairage fluorescent pour la 3e édition de la Francotronik, organisée samedi le 21...
Entrevue avec Mario Lepage Le groupe Ponteix : premier titre et court métrage Ponteix lance son premier titre avec un clip sous forme de court métrage. Chasing the Sun annonce le EP de 4 chansons du groupe...
Les marchands d'armes font des affaires d'or Des Paris partout sur la planète En 2013, les dépenses militaires dans le monde se sont faites au rythme de 3,3 millions $ par minute (ou 55 000$ par seconde).
"Si on n'est pas capable de dire la vérité à ceux qu'on aime, on la dit à qui?" Le long voyage de Pierre-Guy B. : un grand moment de théâtre SASKATOON - Le long voyage de Pierre-Guy B, c'est d'abord l'histoire d'un auteur (Philippe Soldevila), d'un comédien (Christian Essambre),...
Chronologie du statut juridique du français dans l’Ouest Dates charnières du statut juridique du français dans l'Ouest canadien.
18 juin 2019 FAJEF 20027 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer