4 novembre Politique Réactions diverses à la composition du conseil des ministres de Justin Trudeau Réactions diverses à la composition du conseil des ministres, dévoilée mercredi, à Ottawa, par le premier...
Programme de la semaine en Saskatchewan C’est la semaine de l’immigration francophone Du 1er au 7 novembre c'est la semaine de l’immigration francophone à travers tout le pays. L’apport de ces nouveaux...
Plan d’action pour un phare de la francophonie d’Amérique Lancement du Réseau des villes francophones et francophiles Ils étaient plus de 300 élus municipaux et intervenants des milieux du développement économique, du tourisme ou de la culture d’un peu...
Immigrants économiques : des choix sont faits avant d’arriver Des organismes nationaux collaborent pour faciliter la démarche de candidats à l’immigration avant de quitter leur pays,...
Une Américaine passionnée par la langue de Molière PRINCE ALBERT - Ellen MacNeill, 58 ans, est d’origine américaine et passionnée par le français. Installée...
18 juin 2019 FAJEF 20027 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer