14 octobre Politique Les Fransaskois à l’heure du vote Après une campagne d’une durée record, les électeurs s’apprêtent à se rendre aux urnes où...
Des ateliers pour gérer soi-même des maladies chroniques SASKATOON - Le Réseau Santé en français de la Saskatchewan (RSFS) a conclu un accord avec la Région de Santé de...
A 9 ans, elle danse avec le Ballet de Moscou PRINCE ALBERT - Alyssa Sinclair, 9 ans, en 5e année à l’école Valois de Prince Albert, va participer au spectacle...
La Société historique veut diffuser le français au Civic Museum de Regina REGINA - Alors que le Civic Museum de Regina a fermé ses portes en août dernier, la Société historique de la...
La bataille de l’éducation Un des sujets quasiment tabous de la présente campagne électorale est l’enjeu des langues officielles. Probablement...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8616 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer