Francophonie 8 octobre 2015 Regards croisés sur la société francophone des années 1960 et 1970 REGINA - Fin septembre, le Centre canadien de recherche sur les francophonies en milieu minoritaire (CRFM) et la Société historique de la Saskatchewan (SHS) ont organisé une rencontre sur le thème : cultures politiques comparées des minorités nationales d’Amérique du Nord dans les années 1960 et 1970.
8 octobre Politique Coup d'oeil sur le libéral Marvin Wiens et le néodémocrate Trevor Peterson Rencontre avec les candidats de Gravelbourg GRAVELBOURG - Les candidats libéral et néodémocrate alors qu'ils sont venus rencontrer la population. Coup d'oeil...
Qui aime bien châtie bien Tout le monde est tombé à bras raccourcis sur Radio Canada après le débat des chefs entre les principaux leaders...
La Fédération des aînés à la rencontre des communautés SASKATOON - Connaître les besoins des aînés et identifier les services dont ils ont besoin, faire connaître l'organisme...
Débat en français : colère et déception chez les francophones hors Québec Les critiques ont fusé de toute part après le débat des chefs organisé en français, jeudi dernier, par Radio...
Les jeunes Fransaskois s’affichent chez les Riders REGINA - L’Association jeunesse fransaskoise a organisé le 27 septembre dernier une sortie au stade Mosaic pour assister à la...
7 décembre 2017 Laurent Desrosiers 30901 2017, Société, Histoire et patrimoine, Les timbrés Le centenaire de l’explosion d’Halifax Le timbre commémoratif de l'explosion d'Halifax. C’était le 6 décembre 1917. Les carnages de la guerre 1914-1918 tiraient à leur fin. Ce jour-là, une autre sorte de carnage s’est produit, cette fois loin des champs de bataille européens, en Amérique du Nord, précisément à Halifax. Halifax était une ville d’environ 50 000 de population. Avant la guerre, elle souffrait des effets de la grande Dépression et de la chute de l’économie mondiale. Avec la déclaration de la guerre, elle est devenue une fourmilière d’activité. Le port de mer était le centre de toute cette effervescence. On expédiait vers l’Angleterre et l’Europe des millions de tonnes d’armes et de munitions, de blé, d’aliments de toutes sortes, et tout le nécessaire pour soutenir la guerre. Or, un accident se produisit dans le port. Une collision. Une collision entre deux navires, le Mont Blanc, chargé d’explosifs et le Imo. Pourquoi? Erreur humaine? Manque de manœuvrabilité d’un ou l’autre navire? Étroitesse du chenail d’accès au bassin du port pour ces deux navires gigantesques ? Un peu de tout, sans doute. Des flammèches produites par le bris de ferraille causèrent un incendie de produits très inflammables à bord du Mont Blanc. Un immense nuage de fumée noire attirait les curieux de la ville quand l’explosion se produisit, l’explosion la plus puissante créée par l’homme avant l’explosion atomique d’Hiroshima, en 1945. Les ondes de choc et le tsunami frappèrent Richmond, ce quartier d’Halifax où se trouvaient écoles, hôpitaux, églises, usines et résidences. La déflagration laissa près de 2 000 morts et plus de 9 000 estropiés. Richmond fut complètement rasé. Le choc fit éclater des fenêtres à Truro, 100 km plus loin. Le timbre pour commémorer cette tragédie a été émis le 8 novembre, soit un mois avant son centenaire. Les artistes du timbre ont combiné des illustrations du port d’Halifax et la page couverture du journal Halifax Herald au lendemain de l’explosion. C’est un timbre carré de 32 mm x 32 mm de valeur permanente. Postes Canada a imprimé en 4 couleurs 140 000 livrets de 10 timbres chacun. Partager Imprimer