Francophonie 8 octobre 2015 Regards croisés sur la société francophone des années 1960 et 1970 REGINA - Fin septembre, le Centre canadien de recherche sur les francophonies en milieu minoritaire (CRFM) et la Société historique de la Saskatchewan (SHS) ont organisé une rencontre sur le thème : cultures politiques comparées des minorités nationales d’Amérique du Nord dans les années 1960 et 1970.
8 octobre Politique Coup d'oeil sur le libéral Marvin Wiens et le néodémocrate Trevor Peterson Rencontre avec les candidats de Gravelbourg GRAVELBOURG - Les candidats libéral et néodémocrate alors qu'ils sont venus rencontrer la population. Coup d'oeil...
Qui aime bien châtie bien Tout le monde est tombé à bras raccourcis sur Radio Canada après le débat des chefs entre les principaux leaders...
La Fédération des aînés à la rencontre des communautés SASKATOON - Connaître les besoins des aînés et identifier les services dont ils ont besoin, faire connaître l'organisme...
Débat en français : colère et déception chez les francophones hors Québec Les critiques ont fusé de toute part après le débat des chefs organisé en français, jeudi dernier, par Radio...
Les jeunes Fransaskois s’affichent chez les Riders REGINA - L’Association jeunesse fransaskoise a organisé le 27 septembre dernier une sortie au stade Mosaic pour assister à la...
18 juin 2019 FAJEF 19998 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer