1 octobre Bénévolat Témoignage d'une bénévole de La Croix rouge pendant les feux en Saskatchewan Une bénévole sur la ligne de feu Les feux dans le nord de la Saskatchewan ont requis la participation d'un nombre considérable de bénévoles d'autres...
Lancement des soirées musicales mensuelles à Regina Jeunes, vieux et bêtes de scène à Paroles et musiques REGINA - Michel Lalonde a officiellement lancé la saison de Paroles et Musique, samedi le 26 septembre dernier, au Bistro du Carrefour des...
Entretien avec Suzanne Campagne La tournée « interchangeable » des Campagne en Saskatchewan REGINA - Dans le cadre du lancement de la saison 2015-2016 du Réseau de diffusion de spectacles de la Saskatchewan (RDSS) et de la...
Chevaliers et nuit blanche à Saskatoon SASKATOON - Avec 235 événements prévus à travers la province entre le 25 et le 27 septembre, la Saskatchewan a...
Animations sous le thème "L'art s'écrit" Rendre l’art plus accessible au public REGINA - Dans le cadre de la Fête de la culture, le samedi 26 septembre, le Conseil culturel fransaskois (CCF) a organisé une...
18 juin 2019 FAJEF 19998 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer