1 octobre Bénévolat Témoignage d'une bénévole de La Croix rouge pendant les feux en Saskatchewan Une bénévole sur la ligne de feu Les feux dans le nord de la Saskatchewan ont requis la participation d'un nombre considérable de bénévoles d'autres...
Lancement des soirées musicales mensuelles à Regina Jeunes, vieux et bêtes de scène à Paroles et musiques REGINA - Michel Lalonde a officiellement lancé la saison de Paroles et Musique, samedi le 26 septembre dernier, au Bistro du Carrefour des...
Entretien avec Suzanne Campagne La tournée « interchangeable » des Campagne en Saskatchewan REGINA - Dans le cadre du lancement de la saison 2015-2016 du Réseau de diffusion de spectacles de la Saskatchewan (RDSS) et de la...
Chevaliers et nuit blanche à Saskatoon SASKATOON - Avec 235 événements prévus à travers la province entre le 25 et le 27 septembre, la Saskatchewan a...
Animations sous le thème "L'art s'écrit" Rendre l’art plus accessible au public REGINA - Dans le cadre de la Fête de la culture, le samedi 26 septembre, le Conseil culturel fransaskois (CCF) a organisé une...
1 février 2020 Lili Mercure (Acadie Nouvelle) 30344 Communication, Politique Médias sociaux : les politiciens face à la haine ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Trou de cul, imbécile, french fuck, pomme pourrie et idiot, sont quelques exemples d’insultes reçues par les politiciens sur les réseaux sociaux. Si leurs décisions ne font pas toujours l’unanimité, nos élus méritent-ils une telle pluie d’injures? Certains croient que c’est le prix à payer. D’autres diront plutôt qu’il faut éviter de banaliser le phénomène des trolls. Les médias sociaux ont changé la relation entre les électeurs et les élus. Facebook et Twitter permettent aux politiciens de tâter le pouls des citoyens. Des outils incontournables afin de pouvoir prendre des décisions éclairées. Seul hic : les dérapages d’internautes s’invitent dans le quotidien des politiciens. «On se fait ramasser pas à peu près. On n’est pas épargné», souligne Isabelle Thériault, députée libérale provinciale de Caraquet. Mme Thériault avoue qu’elle doit parfois supprimer des messages haineux sur ses réseaux sociaux. La gestion de ceux-ci n’est pas de tout repos. «Ça prend énormément de temps à gérer. Je ne vais pas passer des heures là-dessus.» Même coup de sonde pour Megan Mitton, députée provinciale de la circonscription de Memramcook-Tantramar pour le Parti vert. «C’est important de surveiller ce qui se passe parce qu’il peut y avoir des trolls. Ma plus grosse préoccupation est que les fausses informations ne se propagent pas.» Les trolls sont des personnes qui publient des messages tendancieux sur les plateformes web dans le but de créer des polémiques. Il faut garder un œil sur ses pages, font remarquer les députés. Néanmoins, Mme Mitton évite de lire les commentaires haineux à son égard pour son bienêtre. Elle a d’ailleurs dû embaucher un gestionnaire des réseaux sociaux.. Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal Acadie Nouvelle Partager Imprimer