9 juillet Francophonie Un déficit migratoire négatif dans plusieurs régions La migration des jeunes francophones Une étude de l’Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques (ICRML) révèle que 34 des 63...
Notre futur proche et notre futur lointain Joshua Fizel : premier finissant de l'école Père Mercure La petite école Père Mercure, aux arômes d'esprit de famille et de partage, Josh l’a arpentée, fréquentée pendant treize années, de la...
Ou comment vivre en osmose avec la nature Camping insolite: deux nuits à dormir dans une yourte CHRISTOPHER LAKE - Se réveiller au petit matin au son du chant mélodieux des oiseaux, cela est propre à chaque camping....
Une centaine de feux déclarés autour des lacs du nord de la province La Saskatchewan en feu: inquiétude et désarroi Cet été s’annonce catastrophique quant aux ravages du feu dans les forêts du nord de la Saskatchewan. Les chaleurs...
Cure de rajeunissement pour le Centre culturel Maillard GRAVELBOURG - Pendant le mois de juin 2015, l’Association communautaire fransaskoise de Gravelbourg (ACFG) a procédé à...
18 juin 2019 FAJEF 19952 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer