21 juillet Communication Les sénateurs veulent que la SRC suive le modèle américain de PBS SRC/CBC: un comité du Sénat rejette un financement stable et pluriannuel OTTAWA _ Le comité sénatorial permanent des communications qui se penche sur l'avenir de Radio-Canada/CBC demande à la...
La Fête fransaskoise : quelques voix de la diversité francophone… CIRCLE H RANCH - Ils sont venus en familles, en couples ou seuls. A vélo, en roulotte ou encore en voiture. Soit pour les deux...
À la découverte de la francophonie canadienne Deux Québécois à la Fête fransaskoise dans le cadre d’un projet de documentaire CIRCLE H RANCH - Ils s'appellent Francis Groulx et Nathaël Michaud. Le premier avait commencé des études en aéronautique...
30 kilomètres sous un soleil de plomb... pour le plaisir! Vélo santé 2015 à la Fête fransaskoise : CIRCLE H RANCH - Quelques vingt-huit passionnés du vélo ont participé, à leur manière, à...
Activités, spectacles et détente Une famille partage son expérience à la Fête fransaskoise C’est par une journée alternant éclaircies et pluie que nous avons décidé de nous rendre à la Fête...
18 juin 2019 FAJEF 19952 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer