20 août Saskatoon Folkfest : Saskatoon fête sa multiculturalité SASKATOON - Comme chaque année à la mi-août, le Folkfest, le festival des folklores, a rassemblé plusieurs...
Frédérique Baudemont à la tête de l'Association des parents fransaskois Arrivant de Patrimoine Canadien, Frédérique Baudemont remplacera Danielle Raymond à la direction de l’Association des...
S'amuser en français pendant l'été à Prince Albert Nouvelle saison pour le Camp FrancoFun PRINCE ALBERT - La Société canadienne-française de Prince Albert, en partenariat avec l'école Valois, a...
Élections 2015: Entrevue avec Françoise Sigur-Cloutier (Vidéo) Entrevue vidéo avec la présidente de l'Assemblée communautaire fransaskoise, Françoise Sigur-Cloutier
Françoise Sigur-Cloutier espère des prises de positions claires sur les... L’ACF et les elections fédérales REGINA - Très critique vis-à-vis de l’action de Stephen Harper, l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF)...
18 juin 2019 FAJEF 19981 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer