3 septembre Écoles fransaskoises Un expert de l’éducation minoritaire rejoint le CEF Luc Handfield, nouveau directeur adjoint de l’éducation au CÉF D’origine québécoise, Luc Handfield est le nouveau directeur adjoint de l’éducation au Conseil des écoles...
Réflexion autour de l'AGE du Conseil scolaire fransaskois Thérapie de couple Difficile d’entamer une rentrée scolaire après une Assemblée générale extraordinaire...
Fréquentation toujours en hausse à l’école Valois PRINCE ALBERT - Comme toutes les écoles de Prince Albert, la cloche de l’école Valois a retenti pour la première fois...
Léon Marchildon: Un grand fransaskois La communauté fransaskoise vient de voir disparaître un autre de ses sages. Et comme le dit le proverbe : Un vieillard qui...
Le NPD en plein essor La consécration des cônes oranges Après l’élection fédérale de 2011, plusieurs candidats du Nouveau Parti démocratique (NPD) apprennent...
18 juin 2019 FAJEF 19981 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer