15 septembre Politique Les chefs se font (enfin) entendre dans des débats On serait porté à croire qu’en 2015, il est plus facile que jamais de connaître le point de vue des candidats qui...
Irène Chabot, Maria Lepage et Laurent Lalonde partagent leurs expériences de... Témoignages de bénévoles Propos recueillis par Michel Vézina et Ahmed Hassan Farah
À la paroisse St-Jean-Baptiste, la foi mobilise les volontaires Au sein de la seule église francophone de Regina, pas besoin de battre le rappel pour faire participer les paroissiens aux diverses...
Bénévolat: Les associations s’adaptent comme elles peuvent Parfois confrontées au manque de bras, les associations doivent trouver des solutions alternatives...
« Il faut encourager et valoriser l’engagement » SASKATOON - Danielle Raymond, directrice générale sortante de l’Association des parents...
18 juin 2019 FAJEF 19998 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer