26 juin Juridique Justice en français: une position fédérale incompréhensible La retraite du juge manitobain Marshall Rothstein de la Cour suprême relance la controverse sur la nomination de juges par Ottawa.
Francophonie Rapport du comité sénatorial des langues officielles: des jeunes de moins en moins bilingues
20e conférence ministérielle sur la francophonie canadienne Les 14 ministres responsables dans leur province ou territoire des Affaires francophones se sont réunis à Toronto les 16 et...
2015 - Année de la vie consacrée Le Saint-Père François a déclaré 2015 l'Année de la vie consacrée. Pour mettre en évidence cet...
Cercle université-communauté: réflexion autour de la petite enfance fransaskoise Le 17 juin 2015 se tenait à l’Université de Regina, en collaboration avec l’Association des parents fransaskois, le...
Une leçon d'implication sociale avec Marcel Rachid La réalité du terrain des conflits lointains: le Burundi L'actualité nous paraît souvent bien abstraite quand elle concerne des conflits à l'international qui ont peu d'écho dans nos médias...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16382 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer