Santé 26 juin 2015 Quand la santé, la culture et la langue s’entrecroisent Acquérir la compétence culturelle pour gérer le choc des cultures et des barrières de la langue Quand la santé, la culture et la langue s’entrecroisent : mieux comprendre les immigrants et leurs besoins. C’est à cet exercice que se sont livrés une quinzaine de participants lors d’un atelier sur la compétence culturelle organisé à Regina le 19 juin 2015.
25 juin Immigration Un outil de promotion socioculturelle pour nos communautés Le Festival culinaire africain de Regina REGINA - Le Festival culinaire africain a accueilli près de 400 personnes qui ont goûté aux riches et fines saveurs africaines...
À North Battleford on se parle, s’écoute et choisit : c’est soir d'AGA ! North Battleford - C’était soir de l’Assemblée générale annuelle du Centre francophone des...
Les aînés fransaskois préoccupés par l’incertitude financière et les soins à... Bilan d’un sondage de la FAF auprès des aînés Les gens veulent vieillir chez-eux. D'où l'importance d'un système de communication fiable et des soins à domicile...
Le club de l’Age d’Or de Saskatoon en visite à Bellevue BELLEVUE - Le 17 juin dernier, les membres du Club de l’Age d’Or de la paroisse des Saints-Martyrs-Canadiens, pour leur...
Des réfugiés de 1980 en visite à Saint-Brieux SAINT-BRIEUX - Trente-cinq ans se sont écoulés depuis qu'une famille d'origine chinoise habitant le Vietnam a quitté ce...
16 juin 2016 Sandra Hassan Farah 22714 2016, SCFP - Société canadienne-française de Prince Albert, Communautaire, Prince Albert Assemblée générale de la Société canadienne-française de Prince Albert Remise du chèque pour les structures de jeu de l'école De gauche à droite, Richard Grenier directeur de la SCFPA, Michel Dubé président de la SCFPA et Dominic Rivard directeur de l'école Valois. Ce chèque correspond aux levées de fond organisées par la SCFPA (préparation de dîners chauds vendus aux élèves de l'école) pour l'achat de structures de jeux pour l'école. Photo: Sandra Hassan Farah (2016) L’Assemblée générale de la Société canadienne-française de Prince Albert (SCFPA) s’est tenue le lundi 6 juin dernier dans le gymnase de l’école Valois. Comme à l’accoutumée, la SCFPA a accueilli les participants avec un buffet salé/sucré. Plusieurs membres actifs ainsi que des représentants des partenaires locaux, tels que la direction de l’école, la présidente du conseil des parents de l’école Valois, les deux députés de l’Assemblée communautaire fransaskoise de Prince Albert, le CEECS et les représentants du corps professoral de l’école Valois et du centre éducatif se sont déplacés pour l’occasion. Ils ont pu s’intéresser de près aux différents points de l’ordre du jour et au bilan des activités organisées durant l’année 2015-2016. Le président de la SCFPA, Michel Dubé, a présenté un bilan annuel de la SCFPA très riche et très positif pour la deuxième année consécutive. Fier de ce bilan, le président a chaleureusement remercié et renouvelé sa totale confiance en son équipe de direction et en son comité exécutif pour le travail accompli. Après la validation du rapport financier de la SCFPA qui témoigne de la bonne santé financière de l'association, le deuxième moment fort de l’AGA fut la discussion sur les espaces de la SCFPA et l’entente liée à cet effet avec le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). Il a été question de soumettre à l’assemblée la suite à donner à l’entente signée en 2013 et qui arrive à son terme en août 2016. Plusieurs solutions ont été présentées afin de sortir de la situation précaire que connaît la SCFPA depuis 3 ans. Le président a expliqué à ses membres que la situation semblait préoccuper le CÉF et que le président du Conseil scolaire fransaskois (CSF), Alpha Barry, s’engageait à trouver une solution durable et confortable pour la communauté de Prince Albert. Rappelons qu’en 2013 la SCFPA avait du libérer ses espaces à l’intérieur du Carrefour fransaskois en faveur de l’expansion de l’École Valois et louer des bureaux à un autre endroit. L’organisme de Prince Albert aimerait récupérer les quelque 1 millions de dollars qu’il a investi dans l’édifice. A ceci les participants de l’assemblée ont répondu clairement en laissant la responsabilité au conseil exécutif de gérer le dossier de façon très étroite avec le CÉF et les élus du CSF. Même si le recours en justice était dans les discussions, il a été clairement décidé de maintenir une pression médiatique et politique sur le gouvernement, le ministère de l’éducation et le CÉF et de revendiquer les dédommagements promis par ce le CÉF dans l’ancienne entente. Pour donner le mot de la fin à monsieur Dubé, celui- nous a confié qu’il se félicitait de la confiance que l’assemblée a manifesté à son égard, non seulement pour le bilan de la programmation mais aussi pour la stabilité financière, sans oublier pour le lourd mandat de négociation avec le CÉF. Partager Imprimer