18 juin La Trinité Assemblée générale de l'ACFT: discussion sur l'usage de l'anglais dans les activités ST-DENIS - Le lundi 8 juin dernier, l’Association communautaire fransaskoise de la Trinité (ACFT) a tenu son Assemblée...
« Participons davantage aux activités bénévoles pour soutenir la communauté…... Le bénévolat à l’avant plan lors de l’AGA de la CAFS SASKATOON « Il nous faut relever l’important défi de la participation bénévole pour répondre plus...
“Je n‘ai pas de contrôle sur les affaires politiques, alors concentrons-nous... Rencontre avec Miles Muri, directeur de deux écoles du CEF NORTH BATTLEFORD - Miles Muri a accepté de relever le défi d’assurer la direction de deux petites écoles du nord de la...
Une relève musicale fransaskoise bourrée de talent 26e édition du Gala Nouvelle scène REGINA - Ils sont jeunes. Ils sont fringants. Ils sont bourrés de talent. Ils ont tous le même rêve: que leur musique perce.
Le vérificateur du Canada révèle diverses pratiques douteuses Dépenses des sénateurs : Marie Charette-Poulin et Rose-Marie Losier-Cool visées OTTAWA - Les récentes révélations du vérificateur général du Canada, Michael Ferguson,...
18 juin 2019 FAJEF 19952 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer