5 juin North Battleford J’ai goûté la beauté, les beautés, la bonté du monde ! Festival A Taste of Culture à North Battleford NORTH BATTLEFORD - North Battleford s’est animée « culture internationale » et ce, sous des allures printanières,...
Parler franglais: entre ingéniosité et insécurité Notre avenir sera-t-il franglais? Cinq chercheurs débattent de l’enjeu dans l’édition courante de la revue...
“Personne n’est mieux qualifié qu’un artiste pour parler des artistes” -... Le front des artistes en rencontre à Saskatoon SASKATOON - Le front des artistes a fait le bilan d’une année marquée par un passage à la Cour suprême qui a...
Étienne Fletcher et son guitariste ont fait dégourdir les jambes La FFS termine sa saison des Cabaret sur une note envoûtante SASKATOON - Le dernier Cabaret du Relais de Saskatoon nous a fait vibrer de bonheur. Ce soir là - samedi le 30 mai dernier - la magie...
Première soirée Paroles et musique à Regina Faire revivre les boîtes à chansons au Bistro du Carrefour des plaines REGINA - Michel Lalonde a faire revivre l'atmosphère des boîtes à chanson en y réunissant sur scène...
18 juin 2019 FAJEF 19952 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer