1 juin Autochtones / Métis Des questions encore sans réponse après cinq ans d'examen Pensionnats indiens: des milliers d'enfants morts La commission qui examine depuis plus de cinq ans l'un des chapitres les plus sombres de l'histoire du Canada boucle ses travaux cette semaine en...
Une soirée placée sous le signe de l'émotion Fête des finissants à l'école Valois PRINCE ALBERT - Le 22 mai dernier, l’École Valois s’est parée de ses plus belles couleurs pour la fameuse fête des...
Le débat électoral de la FCFA : un débat pour qui? En prévision des prochaines élections fédérales, la Fédération des communautés francophones et...
Collation des grades pour les finissantes du Collège Mathieu Le Collège Mathieu est heureux d’avoir tenu la collation des grades pour souligner les accomplissements et l’engagement...
L'auteure fransaskoise nous entraîne dans son voyage Martine Noël-Maw : Trois millions de pas à Ponteix PONTEIX - C’est à la fois son imaginaire et une aventure de vie que l’auteure est venue nous partager. Elle a avoué...
18 juin 2019 FAJEF 19952 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer