14 mai Histoire et patrimoine Conférence de Denis Perreaux sur l’interculturalité des francophones La transformation de la communauté francophone n’est pas un phénomène nouveau. « Nous écrivons...
La Loi sur les langues officielles s'invite à bord Stéphane Dion dépose un projet de loi sur les langues officielles pour les vols internationaux OTTAWA - Stéphane Dion a déposé un projet de loi visant à accroître la portée de la Loi sur les langues...
L’immigration est le sujet de l’heure Rapport annuel du Commissaire aux langues officielles OTTAWA - L’immigration occupe une place prépondérante dans le dernier rapport annuel du commissaire aux langues officielles,...
Un bol d’air frais nordique pour faire le point Assemblée générale de la Société historique de la Saskatchewan PRINCE ALBERT - C’est à Prince Albert que s'est déroulée, le samedi 9 mai dernier, la 38e Assemblée...
Des moments d’émotion et une leçon d’humilité Le grand Cabaret à Mgr de Laval : la leçon des « petits » aux « grands » REGINA - Organisé le vendredi 8 mai par les élèves de la 7e à la 9e du Pavillon secondaire de l’École...
18 juin 2019 FAJEF 19943 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer