13 mai Politique NPD Alberta et Conservateurs fédéraux : même avantage Grâce aux failles de notre système électoral le NPD a pu se glisser entre les divisions du vote de ses adversaires. Comme les...
Fillette enceinte au Paraguay: l'ONU blâme le gouvernement du refus de soins Le gouvernement du Paraguay a échoué à protéger la fillette de 10 ans victime d'un viol qui s'est vu refuser un...
Récipiendaires du 17e Gala Les Olivier MONTRÉAL- Voici la liste complète des récipiendaires du 17e Gala Les Olivier, remis dimanche soir à Montréal.
La vente de la Maison de Radio-Canada devra attendre après les élections MONTRÉAL - La haute direction de Radio-Canada/CBC a décidé de ne pas retenir la proposition déposée par le...
"Omar Khadr a plus de classe que tout le f---ing le cabinet" Elizabeth May s'excuse pour ses remarques au gala de la presse OTTAWA - La chef du Parti vert du Canada, Elizabeth May, s'est dite "vraiment désolée" pour ses remarques controversées...
18 juin 2019 FAJEF 19943 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer