Éducation 16 juin 2015 De plus en plus d'élèves font l'école à la maison depuis 5 ans TORONTO - Les familles qui choisissent de faire l'éducation de leurs enfants à domicile sont de plus en plus nombreuses, indique une étude de l'Institut Fraser.
16 juin Politique Harper reconnaît que son gouvernement a encouragé la GRC à détruire des données OTTAWA - Le premier ministre Stephen Harper a reconnu que son gouvernement avait exercé des pressions sur la GRC afin qu'elle...
Une première édition couronnée de succès! Tournoi de golf 2015 du CCS C’est à Manitou Beach que se sont déplacées près d’une trentaine de personnes afin de participer au tout...
Visite guidée avec François Gervais L’espace francophone de la bibliothèque J.M. Cuelenaere PRINCE ALBERT - On n'imagine pas forcément que dans une bibliothèque de la Saskatchewan on puisse trouver tout un secteur mettant...
Un projet phare pour les communautés francophones Un Réseau d’accompagnateurs francophones en santé en Saskatchewan Que faire face à une offre limitée, inadaptée ou totalement absente de services de santé en français en...
Une pièce innovante présentée par les élèves du Pavillon Gustave Dubois Le blogue chanté du Dr Horrible SASKATOON -Pour les élèves de l’École canadienne-française secondaire, la fin de l'année scolaire...
17 décembre 2014 Alexandra Drame (EV) 42611 2014, CAFS - Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan, Société, Immigration Journée du Nouvel Arrivant de la CAFS Les immigrants ont beaucoup à apporter à la Saskatchewan Nouveaux ou moins nouveaux dans la province, ils étaient plus d’une centaine le samedi 13 décembre pour la Journée du Nouvel Arrivant à Saskatoon. Foire à l’emploi, activités pour les enfants, kiosques des institutions d’éducation, de loisir, financières ou du gouvernement, tout avait été pensé pour informer et divertir les participants à cette activité de la Communauté des Africains Francophones de la Saskatchewan (CAFS). Depuis 2009 déjà, l’association promeut l’intégration des Africains francophones lors de cette activité annuelle à laquelle assistent beaucoup de néo-saskatchewannais et de dignitaires, dont le Monsieur le Maire de Saskatoon, Donald Atchison, le député Rob Norris, et la présidente de l’Association Communautaire Fransaskoise (ACF), Françoise Sigur-Cloutier. Le président de la CAFS, Denis Tassiako, s’est déclaré très satisfait de l’évènement « Il y avait beaucoup de nouveaux arrivants venus de Moose Jaw, Regina, Saskatoon, Bellevue ou encore Humboldt. Cette activité a pour but de présenter les nouveaux arrivants à la communauté afin qu’ils s’intègrent facilement dans leur milieu de travail, dans le secteur éducatif, et dans la vie de tous les jours. Nous avons intégré une ‘foire à l’emploi’ où des employeurs pouvaient recruter les jeunes directement sur place. Souvent, les immigrants sont des personnes bien outillées pour travailler, mais qui ne trouvent pas toujours des emplois dans leur domaine. » L’immigration permet des échanges de savoirs Gabriel Beya est un ingénieur dans l’électronique installé à Saskatoon depuis un an et demi. Il partage aussi cet avis. « J’étais ingénieur en Afrique du Sud quand j’ai reçu une offre pour venir travailler au Canada. La technologie est plus avancée en Afrique du Sud qu’en Saskatchewan dans certains domaines techniques, mais il y a moins d’opportunités là-bas. Le gouvernement canadien doit donner la chance aux étrangers de venir partager leur savoir. Les immigrants ont beaucoup de choses à apporter aussi. Le système d’immigration de la Saskatchewan est meilleur que dans beaucoup d’autres provinces mais il reste un problème commun : celui de la reconnaissance des diplômes. Recommencer à zéro en arrivant ici et retourner à l’école, tout le monde ne peut pas le faire. » Pour Monsieur Beya, des activités comme la Journée du Nouvel Arrivant sont très utiles. « Le temps me manque à cause du travail mais j’aimerais pouvoir participer à plus d’évènements dans la communauté. C’est utile pour tout le monde, les francophones comme les étrangers. C’est bien pour les gens qui sont plus à l’aise en français, cela facilite leur intégration. » Partager Imprimer