Éducation 16 juin 2015 De plus en plus d'élèves font l'école à la maison depuis 5 ans TORONTO - Les familles qui choisissent de faire l'éducation de leurs enfants à domicile sont de plus en plus nombreuses, indique une étude de l'Institut Fraser.
16 juin Politique Harper reconnaît que son gouvernement a encouragé la GRC à détruire des données OTTAWA - Le premier ministre Stephen Harper a reconnu que son gouvernement avait exercé des pressions sur la GRC afin qu'elle...
Une première édition couronnée de succès! Tournoi de golf 2015 du CCS C’est à Manitou Beach que se sont déplacées près d’une trentaine de personnes afin de participer au tout...
Visite guidée avec François Gervais L’espace francophone de la bibliothèque J.M. Cuelenaere PRINCE ALBERT - On n'imagine pas forcément que dans une bibliothèque de la Saskatchewan on puisse trouver tout un secteur mettant...
Un projet phare pour les communautés francophones Un Réseau d’accompagnateurs francophones en santé en Saskatchewan Que faire face à une offre limitée, inadaptée ou totalement absente de services de santé en français en...
Une pièce innovante présentée par les élèves du Pavillon Gustave Dubois Le blogue chanté du Dr Horrible SASKATOON -Pour les élèves de l’École canadienne-française secondaire, la fin de l'année scolaire...
10 septembre 2015 Émilie Dessureault-Paquette (EV) 22418 2015, Société, Bénévolat À la paroisse St-Jean-Baptiste, la foi mobilise les volontaires À Regina, les habitués de la messe se proposent souvent pour aider. Photo: Archives de l'Eau vive (2014) REGINA - Au sein de la seule église francophone de Regina, pas besoin de battre le rappel pour faire participer les paroissiens aux diverses activités organisées. Le bénévolat semble aller de paire avec les paroissiens assistant à la messe du dimanche. En tout cas, c’est le constat à la paroisse St-Jean-Baptiste. Chaque croyant semble engagé d’une façon ou d’une autre dans les activités. Rosalie Umuhoza, membre de la communauté, témoigne : « Il y a plusieurs formes de bénévolat. On peut par exemple servir à la cérémonie. De mon côté, je déplace les gens qui n’ont pas de voitures et qui veulent aller à l’église », explique-t-elle, comme si elle prenait conscience de son implication. « Personnellement je m’investis parce que je suis croyante. Aider les autres fait partie de mes convictions religieuses et de mes plaisirs. J’aide parce ce que j’ai déjà obtenu de l’aide de la paroisse. L’église m’a soutenue. Elle m’a équipée lorsque je n’avais rien », détaille Rosalie Umuhoza. Dans les activités à venir, l’église prévoit le traditionnel souper paroissial vers le début du mois d’octobre. Une date à officialiser, en attendant justement de confirmer la liste des bénévoles. « Il n’y a généralement pas de problème pour obtenir l’aide des uns et des autres. Les volontaires sont engagés au sein de la paroisse. Ils sont là au moins le dimanche pour aider, d’une quelconque façon. Il s’agit aussi bien d’anciens membres que de nouveaux arrivants. Ce souper constitue un rendez-vous important pour nous. C’est un moment de partage avec les plus démunis et pour se faire connaître des autres paroisses du diocèse », indique Yvette Ibenda, assistante paroissiale, sans cacher pour autant l’intérêt d’un tel événement pour renflouer les caisses. « En tant qu’immigrant, en tant que chrétien, et en tant qu’être humain, on a besoin de s’entraider », conclut Rosalie Umuhoza. Balises Dossier bénévolat Partager Imprimer