11 juin Francophonie Une société à défragmenter 400 ans de francophonie en Amérique du Nord Acadien d’origine et ancien étudiant et professeur de l’Université d’Ottawa, Joseph Yvon Thériault...
Monsieur: le sens de l’État M. Jacques Parizeau est décédé cette semaine. On le surnommait « Monsieur ». J’ai...
Population autochtone : punir ou guérir? Sur le site du Bureau de l’enquêteur correctionnel du Canada on trouve certains chiffres troublants sur la représentation...
(Re) Conciliation ? En s’attaquant aux enfants, le gouvernement, en complicité avec l’Église, envisageait de détruite des...
Commission de vérité et réconciliation: notre apartheid à nous Nous sommes collectivement consternés devant la description de cet effort concerté pour "sortir l'indien de chaque enfant", comme...
10 septembre 2015 Martin Kakra-Kouame (EV) 24852 2015, Société, Bénévolat Bénévolat: Les associations s’adaptent comme elles peuvent Éric Lefol, directeur général de la Fédération des francophones de Saskatoon Photos : Martin Kakra-Kouame (2015) SASKATOON - Parfois confrontées au manque de bras, les associations doivent trouver des solutions alternatives pour organiser leurs activités. Le pavillon francophone du Folkfest de Saskatoon, ce sont en moyenne 5 500 à 6 000 visiteurs en trois jours. Après la Fête fransaskoise, il constitue l’évènement communautaire le plus « consommateur » de bénévoles. Lors de l’édition 2015, Eric Lefol, directeur général de la Fédération des francophones de Saskatoon (FFS), organisateur principal du pavillon, n’a pas caché que « la mobilisation des bénévoles avait été un énorme défi cette année ». Balises Dossier bénévolat Partager Imprimer