Politique 9 mai 2015 L'élection albertaine suivie avec intérêt aux États Unis WASHINGTON _ Les élections provinciales du Canada sont rarement suivies avec intérêt par les Américains. Or, les élections albertaines de mardi ont attiré leur attention, cette fois-ci en raison de ses conséquences sur l'un des projets d'oléoducs les plus controversés de leur histoire: Keystone XL.
8 mai Écoles fransaskoises “Les conditions gagnantes ne sont pas encore en place afin d'assurer le... Le CSF prolonge le mandat de Donald Michaud à la Direction de l’éducation du CÉF Le président du Conseil scolaire fransaskois (CSF), André Denis, a annoncé le prolongement du mandat de l'actuel Directeur de...
Une soirée avec du Terroir en masse! En route vers l’authenticité locale ST-DENIS - Le dimanche 26 avril, après un dernière petite chute de neige imprévue (on l’espère), la ferme...
Il y avait de quoi mettre « la santé dans son assiette ». Une deuxième Fête des semences réussie à Zenon Park ZENON PARK - C’est avec ardeur que le Comité de bien-être communautaire (CBEC), appuyé de l’Association...
« Nos écoles devraient faire plus de place à la littérature fransaskoise » -... Laurier Gareau récompensé par le Saskatchewan Book Awards Monsieur Gareau aimerait voir la littérature fransaskoise intégrée dans les programmes d’enseignement du...
La liberté de se révéler tels que nous sommes FM Youth de Stéphane Oystryk Charlotte (Marie-Ève Laflèche) - « One day, the only French thing that’ll be left in St. B, ça va être les...
18 août 2016 Jean-Pierre Picard 36272 2016, SRC - Saskatchewan, Communication Radio-Canada supprime le Midi plus/Saskatchewan L'érosion des services d'information en français dans l'Ouest se poursuit Fin du Midi plus/Saskatchewan Dans un communiqué, la Guilde canadienne des médias exprime sont mécontentement suite à l'annonce que CBC/Radio-Canada va supprimer les émissions quotidiennes de 30 minutes d’informations et d’affaires publiques à l’heure du midi, des émissions desservant les minorités francophones de l'Ouest du pays. « La suppression d’émissions importantes pour les communautés francophones est une décision peu judicieuse », a déclaré Carmel Smyth, la présidente de la Guilde canadienne des médias. C’est aussi un manque d’égard flagrant que de supprimer ces émissions et les remplacer par une émission de Montréal ». Mme Smyth a ajouté que la suppression d’émissions intervient alors que Radio Canada a reçu des fonds supplémentaires: « Nous avions espéré que ces fonds seraient consacrés à accroître les informations et la programmation locales, tant à la radio qu’à la télévision, puisque les sondages montrent que ces médias continuent de l’emporter sur les émissions uniquement en ligne » a-t-elle déclaré. Pourtant, Pierre Guérin, le directeur général des Services français de Radio-Canada pour les régions de l'Ouest, évoque le déplacement de l'achalandage vers les plateformes numériques pour justifier cette décision. « Ça devient une décision importante de répondre à cette demande-là de façon plus efficace que par l'entremise de la radio » a-t-il affirmé. Mais en quoi la diffusion en Saskatchewan d'une émission montréalaise à l'heure du midi contribue au virage numérique. Y aurait-il confusion entre numérique et contenu? Le numérique, malgré son incroyable flexibilité, n’est qu’un outil de diffusion. À la base il faut l'alimenter avec du contenu (à ne pas confondre avec une succession de tweets). L’émission Midi plus Saskatchewan permettait la création de contenu avec la production d’excellentes entrevues qu’il était possible de consulter sur les plateformes numériques au moment choisi après leur diffusion en ondes. Monsieur Guérin s’est fait discret sur ce qui allait remplacer l’émission du midi, se contentant de déclarer que « que les ressources qui étaient attitrées à ces émissions seront affectées à d'autres tâches». La présidente de l'Assemblée communautaire fransaskoise, Françoise Sigur-Cloutier, n'apprécie pas la façon dont l'annonce a été faite. « Ces décisions-là ont dû être prises il y a un certain temps et auraient peut-être dû circuler pour voir de quelle façon est-ce qu'on pouvait se positionner face à ça », a-t-elle déclaré en entrevue à Radio-Canada. Surtout que le 30 mai 2016 la SRC a procédé à un exercice de « consultation » avec la population. Il est regrettable que notre diffuseur n’ait pas profité de l’exercice pour sonder les réactions face à l’abolition d’une des rares émissions d’information locales francophones dans l’Ouest. Balises SRCSRC coupures Partager Imprimer