Écoles fransaskoises 30 avril 2015 Des parents inquiets se rencontrent à huis clos Un manque de services et de ressources dans les écoles fransaskoises est pointé du doigt Des parents d'élèves inscrits dans le système scolaire fransaskois se sont réunis le samedi 25 avril dernier pour témoigner de leurs inquiétudes face aux nombreuses coupures de services aux élèves des écoles fransaskoises.
30 avril Immigration Danse et élégance au programme Gala Culturel Africain 2015 à Saskatoon Festivités de la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan du 25 avril 2015 à Saskatoon.
Le monde des contes et légendes La 10e édition des Journées du patrimoine Cette année, les Journées du patrimoine poursuivent leur parcours en s’ancrant dans le folklore canadien-français,...
La Cour suprême donne raison aux parents francophones de Colombie-Britannique La Cour suprême a confirmé le 24 avril le droit des francophones à des établissements équivalents à...
Une trahison économique, selon le NPD La CCB sera détenue par une entreprise appartenant en partie à des Saoudiens WINNIPEG Le gouvernement canadien a fait un pas de plus vers la privatisation de la Commission canadienne du blé (CCB) en concluant...
« On va devenir un groupe de bénévoles, il n’y aura plus d’employées ». –... Perte de financement à la FPF : repenser les façons de faire REGINA - Il y avait consensus autour de la table, à l'AGA de la FPF: elle doit continuer d’exister, du moins la philosophie...
18 août 2016 Jean-Pierre Picard 36272 2016, SRC - Saskatchewan, Communication Radio-Canada supprime le Midi plus/Saskatchewan L'érosion des services d'information en français dans l'Ouest se poursuit Fin du Midi plus/Saskatchewan Dans un communiqué, la Guilde canadienne des médias exprime sont mécontentement suite à l'annonce que CBC/Radio-Canada va supprimer les émissions quotidiennes de 30 minutes d’informations et d’affaires publiques à l’heure du midi, des émissions desservant les minorités francophones de l'Ouest du pays. « La suppression d’émissions importantes pour les communautés francophones est une décision peu judicieuse », a déclaré Carmel Smyth, la présidente de la Guilde canadienne des médias. C’est aussi un manque d’égard flagrant que de supprimer ces émissions et les remplacer par une émission de Montréal ». Mme Smyth a ajouté que la suppression d’émissions intervient alors que Radio Canada a reçu des fonds supplémentaires: « Nous avions espéré que ces fonds seraient consacrés à accroître les informations et la programmation locales, tant à la radio qu’à la télévision, puisque les sondages montrent que ces médias continuent de l’emporter sur les émissions uniquement en ligne » a-t-elle déclaré. Pourtant, Pierre Guérin, le directeur général des Services français de Radio-Canada pour les régions de l'Ouest, évoque le déplacement de l'achalandage vers les plateformes numériques pour justifier cette décision. « Ça devient une décision importante de répondre à cette demande-là de façon plus efficace que par l'entremise de la radio » a-t-il affirmé. Mais en quoi la diffusion en Saskatchewan d'une émission montréalaise à l'heure du midi contribue au virage numérique. Y aurait-il confusion entre numérique et contenu? Le numérique, malgré son incroyable flexibilité, n’est qu’un outil de diffusion. À la base il faut l'alimenter avec du contenu (à ne pas confondre avec une succession de tweets). L’émission Midi plus Saskatchewan permettait la création de contenu avec la production d’excellentes entrevues qu’il était possible de consulter sur les plateformes numériques au moment choisi après leur diffusion en ondes. Monsieur Guérin s’est fait discret sur ce qui allait remplacer l’émission du midi, se contentant de déclarer que « que les ressources qui étaient attitrées à ces émissions seront affectées à d'autres tâches». La présidente de l'Assemblée communautaire fransaskoise, Françoise Sigur-Cloutier, n'apprécie pas la façon dont l'annonce a été faite. « Ces décisions-là ont dû être prises il y a un certain temps et auraient peut-être dû circuler pour voir de quelle façon est-ce qu'on pouvait se positionner face à ça », a-t-elle déclaré en entrevue à Radio-Canada. Surtout que le 30 mai 2016 la SRC a procédé à un exercice de « consultation » avec la population. Il est regrettable que notre diffuseur n’ait pas profité de l’exercice pour sonder les réactions face à l’abolition d’une des rares émissions d’information locales francophones dans l’Ouest. Balises SRCSRC coupures Partager Imprimer