Écoles fransaskoises 30 avril 2015 Des parents inquiets se rencontrent à huis clos Un manque de services et de ressources dans les écoles fransaskoises est pointé du doigt Des parents d'élèves inscrits dans le système scolaire fransaskois se sont réunis le samedi 25 avril dernier pour témoigner de leurs inquiétudes face aux nombreuses coupures de services aux élèves des écoles fransaskoises.
30 avril Immigration Danse et élégance au programme Gala Culturel Africain 2015 à Saskatoon Festivités de la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan du 25 avril 2015 à Saskatoon.
Le monde des contes et légendes La 10e édition des Journées du patrimoine Cette année, les Journées du patrimoine poursuivent leur parcours en s’ancrant dans le folklore canadien-français,...
La Cour suprême donne raison aux parents francophones de Colombie-Britannique La Cour suprême a confirmé le 24 avril le droit des francophones à des établissements équivalents à...
Une trahison économique, selon le NPD La CCB sera détenue par une entreprise appartenant en partie à des Saoudiens WINNIPEG Le gouvernement canadien a fait un pas de plus vers la privatisation de la Commission canadienne du blé (CCB) en concluant...
« On va devenir un groupe de bénévoles, il n’y aura plus d’employées ». –... Perte de financement à la FPF : repenser les façons de faire REGINA - Il y avait consensus autour de la table, à l'AGA de la FPF: elle doit continuer d’exister, du moins la philosophie...
10 septembre 2015 Émilie Dessureault-Paquette (EV) 22371 2015, Société, Bénévolat À la paroisse St-Jean-Baptiste, la foi mobilise les volontaires À Regina, les habitués de la messe se proposent souvent pour aider. Photo: Archives de l'Eau vive (2014) REGINA - Au sein de la seule église francophone de Regina, pas besoin de battre le rappel pour faire participer les paroissiens aux diverses activités organisées. Le bénévolat semble aller de paire avec les paroissiens assistant à la messe du dimanche. En tout cas, c’est le constat à la paroisse St-Jean-Baptiste. Chaque croyant semble engagé d’une façon ou d’une autre dans les activités. Rosalie Umuhoza, membre de la communauté, témoigne : « Il y a plusieurs formes de bénévolat. On peut par exemple servir à la cérémonie. De mon côté, je déplace les gens qui n’ont pas de voitures et qui veulent aller à l’église », explique-t-elle, comme si elle prenait conscience de son implication. « Personnellement je m’investis parce que je suis croyante. Aider les autres fait partie de mes convictions religieuses et de mes plaisirs. J’aide parce ce que j’ai déjà obtenu de l’aide de la paroisse. L’église m’a soutenue. Elle m’a équipée lorsque je n’avais rien », détaille Rosalie Umuhoza. Dans les activités à venir, l’église prévoit le traditionnel souper paroissial vers le début du mois d’octobre. Une date à officialiser, en attendant justement de confirmer la liste des bénévoles. « Il n’y a généralement pas de problème pour obtenir l’aide des uns et des autres. Les volontaires sont engagés au sein de la paroisse. Ils sont là au moins le dimanche pour aider, d’une quelconque façon. Il s’agit aussi bien d’anciens membres que de nouveaux arrivants. Ce souper constitue un rendez-vous important pour nous. C’est un moment de partage avec les plus démunis et pour se faire connaître des autres paroisses du diocèse », indique Yvette Ibenda, assistante paroissiale, sans cacher pour autant l’intérêt d’un tel événement pour renflouer les caisses. « En tant qu’immigrant, en tant que chrétien, et en tant qu’être humain, on a besoin de s’entraider », conclut Rosalie Umuhoza. Balises Dossier bénévolat Partager Imprimer