Santé 9 avril 2015 Le cerveau aussi a besoin d’exercice Depuis les années 80, beaucoup d’études tendent à démontrer que plus nous avons des activités variées, plus nous gardons notre cerveau actif. La mémoire en est la première bénéficiaire.
9 avril Communication Nouvelles de la Coopérative des publications fransaskoises et de l’Eau vive Le conseil d'administration de la Coopérative des publications fransaskoises souhaite vous faire part de quelques nouveautés et...
Collèges et universités francophones s’unissent Désirant se doter d’une voix plus forte, les institutions d’enseignement postsecondaire de la francophonie canadienne ont...
L’immersion a la cote malgré ses lacunes Dépassé, élitiste et source de division, le système d’immersion française en place dans les écoles...
Entretiens avec des Fransaskois vivant au Québec – 2e partie Anique Granger: une artiste aux couleurs fransaskoises Anique Granger est une auteure-compositeure-interprète bien connue en Saskatchewan. Originaire de Saskatoon, elle vit au Québec...
Élections fédérales : L’immigration, le nerf de la guerre Les élections fédérales n’auront peut-être lieu que dans six mois mais déjà, différents...
21 décembre 2016 L'Eau vive 32979 2016, Arts et culture, Littérature, Théâtre Madeleine Blais-Dahlem honorée par le Collège St-Thomas More Madeleine Blais-Dahlem Photo: Courtoisie (2016) SASKATOON - La dramaturge fransaskoise Madeleine Blais-Dahlem a été reconnue comme « Diplomée de distinction » pour l’année 2016 par l'Association des anciens du Collège St.-Thomas More (CSTM) le 29 octobre à Saskatoon. Cette attribution reconnaît sa « contribution au répertoire de la littérature minoritaire de la Saskatchewan » et son engagement auprès de la Troupe du Jour dans la création de son Centre de production, le Studio 914. Originaire de Delmas, Saskatchewan, Madeleine a complété une maîtrise en littérature française en 1971 au CSTM. Elle a débuté sa carrière d’enseignante en 1969 à l’école secondaire ED Feehan de Saskatoon. Pendant ses 35 ans dans l’enseignement, elle a fait une grande place au théâtre comme outil d’enseignement du français en écrivant des pièces avec et pour ses élèves. Au début des années 90, elle se tourne vers le théâtre et devient très active au sein de La Troupe du Jour de Saskatoon dont elle a été présidente et qui a produit sa pièce La maculée, qui s’est méritée un prix du Saskatoon and Area Theater Awards. Elle a été invitée à siéger sur des jurys par le Conseil des arts du Canada, le Saskatchewan Arts Board et le Conseil culturel fransaskois. Lors de la remise du prix, Madeleine a souligné l’importance de la langue française dans sa vie artistique : « J’étais déjà dans la trentaine lorsque j’ai réalisé que ma créativité trouvait sa source dans ma langue et ma culture. Je remercie la communauté fransaskoise d’avoir accueilli ma voix: mes pièces de théâtres, mon roman. » Partager Imprimer