Bellevue 26 mars 2015 Deux organismes fransaskois reçoivent une aide de Financement agricole Canada Cette année neuf projets ont reçu une aide financière dans des communautés de langue officielle en situation minoritaire situées aux quatre coins du pays. Deux de ces projets sont en Saskatchewan.
26 mars Éducation Le Grand Quiz, un jack pot pour la communauté ? Réflexion d'un lectrice sur la formule du Grand Quiz qui a remplacé la Grande dictée.
Tournée printanière du Salon du livre de la Bouquinerie Gravel Le Salon du livre de la Bouquinerie Gravel était de passe à Regina à l'occasion de sa tournée printanière.
Rencontre des radios communautaires à Plamondon Le conseil d’administration de l’Alliance des radios communautaires de l’Ouest et des Territoires (ARCOT) s’est...
Un dur coup pour la production régionale Élimination des quotas de contenu télévisuel canadien En éliminant les quotas de contenu canadien à la télé durant la journée, le CRTC semble retirer son appui...
Des personnes honorées lors de l’Assemblée annuelle de l’ALEF En marge de son congrès annuel, l’Association locale des enseignantes et enseignants fransaskois (ALEF) a honoré diverses...
10 septembre 2015 Émilie Dessureault-Paquette (EV) 22371 2015, Société, Bénévolat À la paroisse St-Jean-Baptiste, la foi mobilise les volontaires À Regina, les habitués de la messe se proposent souvent pour aider. Photo: Archives de l'Eau vive (2014) REGINA - Au sein de la seule église francophone de Regina, pas besoin de battre le rappel pour faire participer les paroissiens aux diverses activités organisées. Le bénévolat semble aller de paire avec les paroissiens assistant à la messe du dimanche. En tout cas, c’est le constat à la paroisse St-Jean-Baptiste. Chaque croyant semble engagé d’une façon ou d’une autre dans les activités. Rosalie Umuhoza, membre de la communauté, témoigne : « Il y a plusieurs formes de bénévolat. On peut par exemple servir à la cérémonie. De mon côté, je déplace les gens qui n’ont pas de voitures et qui veulent aller à l’église », explique-t-elle, comme si elle prenait conscience de son implication. « Personnellement je m’investis parce que je suis croyante. Aider les autres fait partie de mes convictions religieuses et de mes plaisirs. J’aide parce ce que j’ai déjà obtenu de l’aide de la paroisse. L’église m’a soutenue. Elle m’a équipée lorsque je n’avais rien », détaille Rosalie Umuhoza. Dans les activités à venir, l’église prévoit le traditionnel souper paroissial vers le début du mois d’octobre. Une date à officialiser, en attendant justement de confirmer la liste des bénévoles. « Il n’y a généralement pas de problème pour obtenir l’aide des uns et des autres. Les volontaires sont engagés au sein de la paroisse. Ils sont là au moins le dimanche pour aider, d’une quelconque façon. Il s’agit aussi bien d’anciens membres que de nouveaux arrivants. Ce souper constitue un rendez-vous important pour nous. C’est un moment de partage avec les plus démunis et pour se faire connaître des autres paroisses du diocèse », indique Yvette Ibenda, assistante paroissiale, sans cacher pour autant l’intérêt d’un tel événement pour renflouer les caisses. « En tant qu’immigrant, en tant que chrétien, et en tant qu’être humain, on a besoin de s’entraider », conclut Rosalie Umuhoza. Balises Dossier bénévolat Partager Imprimer