Bellevue 26 mars 2015 Deux organismes fransaskois reçoivent une aide de Financement agricole Canada Cette année neuf projets ont reçu une aide financière dans des communautés de langue officielle en situation minoritaire situées aux quatre coins du pays. Deux de ces projets sont en Saskatchewan.
26 mars Éducation Le Grand Quiz, un jack pot pour la communauté ? Réflexion d'un lectrice sur la formule du Grand Quiz qui a remplacé la Grande dictée.
Tournée printanière du Salon du livre de la Bouquinerie Gravel Le Salon du livre de la Bouquinerie Gravel était de passe à Regina à l'occasion de sa tournée printanière.
Rencontre des radios communautaires à Plamondon Le conseil d’administration de l’Alliance des radios communautaires de l’Ouest et des Territoires (ARCOT) s’est...
Un dur coup pour la production régionale Élimination des quotas de contenu télévisuel canadien En éliminant les quotas de contenu canadien à la télé durant la journée, le CRTC semble retirer son appui...
Des personnes honorées lors de l’Assemblée annuelle de l’ALEF En marge de son congrès annuel, l’Association locale des enseignantes et enseignants fransaskois (ALEF) a honoré diverses...
17 décembre 2018 Laurent Desrosiers 26980 Archives, 2018, Les timbrés Timbres créés par des prisonniers pour Noël Timbres créés par des prisonniers pour Noël The Catholic Register du 18 novembre nous annonce cinq nouveaux timbres de Noël pour la Cité du Vatican. « Est-ce une surprise ? » vous me demandez. Oui et non. À ce temps-ci de l’année, on s’attend à ce que pratiquement tous les États produisent des nouveaux timbres pour commémorer Noël. La surprise est que les modèles, c’est-à-dire les peintures qui les ont inspirées sont le produit du pinceau d’un prisonnier condamné à perpétuité dans un pénitencier de Milan, Italie. Mauro Olivieri, chef du Bureau philatélique du Vatican dit que « confier la création des nouveaux timbres de Noël à un prisonnier condamné à perpétuité est un signe d’espoir, de confiance et de foi dans son prochain, de comprendre son habilité d’admettre le mal qu’il a fait et de se réhabiliter. ». Marcello D’Agata est l’artiste. Le choix d’œuvres de cet artiste est une réaction à un appel du Pape François à la compassion envers les prisonniers et à faire plus d’efforts pour faire comprendre que la prison n’est pas la fin d’une vie criminelle, mais le commencement d’une vie nouvelle. Au cours de sa jeunesse, D’Agata ne pouvait pas résister à l’envie de dessiner dès qu’il se trouvait devant une feuille de papier. « Mais ce n’était que du barbouillage ! » affirme-t-il. Les choses ont changé en 2013, quand la direction du pénitencier a accordé à un groupe de prisonniers le privilège de poursuivre des cours d’art graphique. La peinture est maintenant plus qu’un hobby pour D’Agata. Elle permet à son imagination de s’échapper des murs de la prison. « L’amour de l’art », dit D’Agata, « a réveillé en moi la partie de moi-même que j’ignorais parce qu’elle était cachée par les ténèbres qui ont dérobé ma vie ». L’illustration ci-dessous nous montre D’Agata mettant les touches finales à une peinture de Marie regardant vers le ciel pendant que l’archange Gabriel approche avec un bouquet de lys blancs. Partager Imprimer