Bellevue 26 mars 2015 Deux organismes fransaskois reçoivent une aide de Financement agricole Canada Cette année neuf projets ont reçu une aide financière dans des communautés de langue officielle en situation minoritaire situées aux quatre coins du pays. Deux de ces projets sont en Saskatchewan.
26 mars Éducation Le Grand Quiz, un jack pot pour la communauté ? Réflexion d'un lectrice sur la formule du Grand Quiz qui a remplacé la Grande dictée.
Tournée printanière du Salon du livre de la Bouquinerie Gravel Le Salon du livre de la Bouquinerie Gravel était de passe à Regina à l'occasion de sa tournée printanière.
Rencontre des radios communautaires à Plamondon Le conseil d’administration de l’Alliance des radios communautaires de l’Ouest et des Territoires (ARCOT) s’est...
Un dur coup pour la production régionale Élimination des quotas de contenu télévisuel canadien En éliminant les quotas de contenu canadien à la télé durant la journée, le CRTC semble retirer son appui...
Des personnes honorées lors de l’Assemblée annuelle de l’ALEF En marge de son congrès annuel, l’Association locale des enseignantes et enseignants fransaskois (ALEF) a honoré diverses...
1 février 2020 Lili Mercure (Acadie Nouvelle) 30255 Communication, Politique Médias sociaux : les politiciens face à la haine ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Trou de cul, imbécile, french fuck, pomme pourrie et idiot, sont quelques exemples d’insultes reçues par les politiciens sur les réseaux sociaux. Si leurs décisions ne font pas toujours l’unanimité, nos élus méritent-ils une telle pluie d’injures? Certains croient que c’est le prix à payer. D’autres diront plutôt qu’il faut éviter de banaliser le phénomène des trolls. Les médias sociaux ont changé la relation entre les électeurs et les élus. Facebook et Twitter permettent aux politiciens de tâter le pouls des citoyens. Des outils incontournables afin de pouvoir prendre des décisions éclairées. Seul hic : les dérapages d’internautes s’invitent dans le quotidien des politiciens. «On se fait ramasser pas à peu près. On n’est pas épargné», souligne Isabelle Thériault, députée libérale provinciale de Caraquet. Mme Thériault avoue qu’elle doit parfois supprimer des messages haineux sur ses réseaux sociaux. La gestion de ceux-ci n’est pas de tout repos. «Ça prend énormément de temps à gérer. Je ne vais pas passer des heures là-dessus.» Même coup de sonde pour Megan Mitton, députée provinciale de la circonscription de Memramcook-Tantramar pour le Parti vert. «C’est important de surveiller ce qui se passe parce qu’il peut y avoir des trolls. Ma plus grosse préoccupation est que les fausses informations ne se propagent pas.» Les trolls sont des personnes qui publient des messages tendancieux sur les plateformes web dans le but de créer des polémiques. Il faut garder un œil sur ses pages, font remarquer les députés. Néanmoins, Mme Mitton évite de lire les commentaires haineux à son égard pour son bienêtre. Elle a d’ailleurs dû embaucher un gestionnaire des réseaux sociaux.. Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal Acadie Nouvelle Partager Imprimer