20 mars Immigration Nos premiers pas en Saskatchewan De Djibouti à Prince Albert... 2e partie Janvier 2014: arrivée à l’aéroport de Saskatoon. Il fait beau, mais froid. Le thermomètre affiche -30C. Je...
AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan La « Journée fransaskoise du droit 2015 »
Levée du drapeau à Gravelbourg GRAVELBOURG - C’est sur le terrain de l’Hôtel de ville de Gravelbourg que s’est déroulée, mercredi le...
Le gouvernement saskatchewannais souligne les Rendez-vous de la francophonie REGINA - Le mercredi 11 mars 2015 Monsieur Wayne Elhard, secrétaire législatif responsable des affaires francophones du gouvernement...
Fransas’qui? Fransas’quand ? Au bout de combien de temps devient-on vraiment Fransaskois? Cette question brûle les lèvres de beaucoup de gens. Voici mon...
Mariachis manitobains à Gravelbourg GRAVELBOURG - Dans le cadre des Rendez-vous de la Francophonie, le groupe manitobain Son Del Norte était de passage à Gravelbourg...
11 mai 2015 (FNC–CSN) 29381 SRC - Saskatchewan, Communication, Politique La vente de la Maison de Radio-Canada devra attendre après les élections Maison Radio-Canada à Montréal Photo: Radio-Canada MONTRÉAL - Le Syndicat des communications de Radio-Canada (FNC–CSN) accueille favorablement la décision de la haute direction de Radio-Canada/CBC a décidé de ne pas retenir la proposition déposée par le consortium Média Cité dans le processus de vente de la Maison de Radio-Canada (MRC) et de ses espaces de stationnement à Montréal. Média Cité demeurait le seul promoteur encore sur les rangs de ce projet qui aurait été réalisé en partenariat public-privé. Le SCRC demande maintenant à la haute direction de Radio-Canada de surseoir à tout processus de vente ou de cession de la MRC d'ici les résultats de la prochaine élection. « Il nous apparaissait de plus en plus évident que la vente de la MRC et le réaménagement subséquent des installations de Radio-Canada/CBC à Montréal aurait hypothéqué de manière irréversible la capacité de production et de diffusion publique », affirme la présidente du SCRC, Isabelle Montpetit. Rappelons que selon la dernière version du projet, Radio-Canada n'aurait disposé que d'un seul et unique studio, alors que la MRC en compte actuellement douze. Le syndicat était par ailleurs très inquiet de l'opacité du processus, qui ne permettait pas d'évaluer les gains et les coûts financiers de la transaction. Faute d'informations suffisantes, il demeurait très difficile de mesurer l'impact du projet sur les emplois, la production télévisuelle et la poursuite du mandat de Radio-Canada/CBC. Cette décision vient donc suspendre une démarche hautement questionnable. Média Cité restait le seul soumissionnaire en lice après le retrait de SNC/Lavalin et des Partenaires du développement de la Maison. Son offre n'a pas été retenue par Radio-Canada en raison de non conformités importantes. Média Cité était piloté par la firme de gestion immobilière Busac associée, entre autres, à l'échec immobilier majeur de l'Îlot Voyageur. À quelques mois d'une élection, cet arrêt nous semble donc propice à une nouvelle discussion sur la vocation et la restauration de la tour de Radio-Canada, un symbole culturel fort dans le paysage montréalais. Il est clair que le processus de cession de l'immeuble, construit il y a seulement 42 ans, a été engagé à cause des moyens financiers étriqués de la Société. La conjoncture médiatique difficile ne justifie pas la baisse constante du financement et les compressions budgétaires qui minent la production télévisuelle et radiophonique et qui entraînent la fermeture du costumier, celle des ateliers de décors et de la bibliothèque. Le SCRC croit que les Canadiennes et les Canadiens, véritables propriétaires de la Société, n'appuient pas ces orientations. D'ailleurs, hormis les conservateurs, la plupart des partis politiques fédéraux ont pris des engagements clairs envers un meilleur appui au producteur et au diffuseur public. « Il faudrait donc que les membres du conseil d'administration de Radio-Canada, mandataires de la société publique, agissent de manière responsable et évitent de prendre des décisions précipitées d'ici l'échéance électorale du 19 octobre », conclut Isabelle Montpetit. Partager Imprimer