12 mars Francophonie Rendez-vous de la Francophonie 2015, on se rassemble dans la joie! Organisés depuis 2005 par la Fondation canadienne pour le dialogue des cultures (FCDC), les Rendez-vous de la Francophonie tiennent leur...
Karlyn Séïde s’expose au Relais Ce n’est pas une faute de frappe : non seulement l’aquarelliste Karlyn Séïde expose ses œuvres au Relais...
Un projet novateur à Debden et Prince Albert Ateliers d'écriture dans des écoles d'immersion PRINCE ALBERT - La commission scolaire Saskatchewan Rivers Public School Division, située à Prince Albert, accueille un tout...
Une fin de semaine à l'enseigne de la petite enfance Les parents et leurs enfants du Centre d’appui à la famille et à l’enfance (CAFE) La Passerelle de Saskatoon se sont...
Une réflexion sur le suicide et le deuil La communauté de Domremy et Bellevue vit un grand deuil: le décès de Jordan Philibert est très triste et...
18 juin 2019 FAJEF 19905 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer