Communication 26 mars 2015 Un journaliste stagiaire à l’Eau vive L’Eau vive accueillera, en avril, un des quatre étudiants en journalisme à la Cité collégiale qui ont reçu une bourse de stage de la Fondation Donatien-Frémont.
26 mars Immigration L’adoption de notre terre d’accueil De Djibouti à Prince Albert… 3e partie Et voici le dernier épisode de notre série, avec comme maître mot l’intégration dans notre nouveau pays...
Une première foire francophone à Humboldt Le samedi 21 mars dernier, une dizaine d'organismes du réseau associatif fransaskois se sont donnés rendez-vous à la Salle...
L’art performance personnifiant le lien Unité de contrastes 3 : performance d'Éveline Boudreau Éveline Boudreau a offert une performance devant le Relais de Saskatoon dans le cadre de la Journée internationale de la...
Une soirée inoubliable pour clôturer la visite de Marijosée à Zenon Park Le 20 mars, tous les élèves de l’école et certains membres de la communauté, dont Gilbert Ferré, maire de...
Une nouvelle pousse en Ouganda Les Filles de la Providence sont présentes en Ouganda depuis 2006 en la personne de Sr Emma Mudrik de la Saskatchewan.
18 juin 2019 FAJEF 19916 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer