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« Offrons un sentiment d'attachement sécuritaire à nos enfants …» - Eva de... Face aux jeunes en difficulté : l'importance du lien affectif « Faisons face à la vulnérabilité du jeune en cultivant le contexte de l’attachement...
Une formation sur la terminologie au Forum des générations Comment améliorer la communication médicale en français ? « Dites français et ça va déjà mieux ». C’est le slogan de la campagne nationale de...
Pas un mythe mais une réalité scientifiquement prouvée Le bilinguisme pour une bonne santé cérébrale Une étude menée par deux chercheurs de l’Université Concordia permet de démystifier les malentendus qui planent...
Un éléphant dans notre salon: les troubles de santé mentale Si un jour vous découvriez un éléphant dans votre salon, que feriez-vous? Est-ce que vous feriez semblant qu’il...
18 juin 2019 FAJEF 19924 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer