Communautaire 16 avril 2015 Fonds publics: les organismes francophones sont-ils transparents? Patrimoine canadien n’est pas le seul financier des communautés francophones. Quelles sont les autres sources et l’envergure du financement ? Francopresse survole cette semaine la situation des organismes nationaux. La semaine prochaine, ce sera au tour des organismes porte-parole provinciaux et territoriaux.
16 avril Cinéma Retour sur 10 ans de Cinéma vendredi 1er mai Soirée d'ouverture du Festival CINERGIE 2015 Les films 1987 et C.R.A.Z.Y. seront présentés lors de la soirée d'ouverture du Festival CINERGIE.
La Fondation fransaskoise, importante pour la communauté Dans les situations minoritaires, une entité qui supporte l’ensemble de la communauté est primordiale pour la survie...
Tisser des liens entre immersion et écoles fransaskoises Il serait dans l’intérêt de la communauté fransaskoise d’établir des ponts entre les écoles...
Désirée Loiselle, grande gagnante de Jamais trop tôt C'est Désirée Loiselle, étudiante à l’école Providence de Vonda, qui représentera la...
« On peut être heureux sans accumuler toujours plus » Un évêque vient parler d’agriculture à des élèves d’Edmonton EDMONTON - Le vendredi 13 mars, l’évêque belge Eugenio Rixen a rencontré des élèves de...
18 juin 2019 FAJEF 19934 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer