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Étudiants mexicains disparus: des militants en campagne à Montréal Des membres de la famille de certains des 43 étudiants qui sont disparus au Mexique, le 26 septembre dernier, sont de passage à...
Démolition de l'élévateur de Coronach, SK Un autre élévateur à grain disparait Ils ont fait partie du paysage des Prairies pendant des décennies et ils disparaissent, victimes du "progrès". Visionnez la...
Les bars de danseuses de nouveau interdits en Saskatchewan REGINA - Les bars de danseuses ne sont plus légaux en Saskatchewan, bien que le gouvernement indique qu'il permettra des...
Le coût pour la recherche du slogan ""Fort. Fier. Libre." est considéré... Le slogan du 150e anniversaire de la fédération canadienne serait il partisan? OTTAWA - La genèse du slogan choisi par le gouvernement conservateur pour les fêtes du 150e anniversaire de la...
18 juin 2019 FAJEF 19924 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer