Politique 10 mars 2015 Le Canada peut-il se donner une vraie démocratie? Aux dernières élections, en 2011, à peine 61.1% des électeurs ont exercé leur droit de vote (63.1% en Saskatchewan). De ce nombre, 39,6% ont choisi le gouvernement Harper. C’est donc 24,2% des électeurs canadiens qui ont porté les conservateurs au pouvoir.
10 mars Coup d'oeil sur le monde La violence faite aux femmes dans le monde: état des lieux En décembre 2012, une étudiante en médecine et son ami sont montés à bord d'un autobus de la ville de New...
De Djibouti à Prince Albert…. Parcours d'un immigrant – 1ere partie Alors que rien ne destinait notre famille à venir vivre au Canada, cette aventure nous tentait depuis fort longtemps.
Conférence du Dr Reeder (Université de la Saskatchewan) EBOLA: La mobilisation sociale pour lutter efficacement contre l’épidémie «Le défi du virus Ebola: les interventions de Médecins sans frontières au Libéria». C’est le thème de la conférence prononcée le...
La FCFA 9e édition de la Journée de réflexion sur l’immigration francophone Près d’une centaine de personnes se sont réunies à Ottawa, le 2 mars, pour la 9e édition de...
Une étape importante pour le postsecondaire francophone en Saskatchewan SASKATOON - C’est surtout le dossier du postsecondaire qui a retenu l’attention de l’Assemblée des députés...
16 juin 2016 Sandra Hassan Farah 22654 2016, SCFP - Société canadienne-française de Prince Albert, Communautaire, Prince Albert Assemblée générale de la Société canadienne-française de Prince Albert Remise du chèque pour les structures de jeu de l'école De gauche à droite, Richard Grenier directeur de la SCFPA, Michel Dubé président de la SCFPA et Dominic Rivard directeur de l'école Valois. Ce chèque correspond aux levées de fond organisées par la SCFPA (préparation de dîners chauds vendus aux élèves de l'école) pour l'achat de structures de jeux pour l'école. Photo: Sandra Hassan Farah (2016) L’Assemblée générale de la Société canadienne-française de Prince Albert (SCFPA) s’est tenue le lundi 6 juin dernier dans le gymnase de l’école Valois. Comme à l’accoutumée, la SCFPA a accueilli les participants avec un buffet salé/sucré. Plusieurs membres actifs ainsi que des représentants des partenaires locaux, tels que la direction de l’école, la présidente du conseil des parents de l’école Valois, les deux députés de l’Assemblée communautaire fransaskoise de Prince Albert, le CEECS et les représentants du corps professoral de l’école Valois et du centre éducatif se sont déplacés pour l’occasion. Ils ont pu s’intéresser de près aux différents points de l’ordre du jour et au bilan des activités organisées durant l’année 2015-2016. Le président de la SCFPA, Michel Dubé, a présenté un bilan annuel de la SCFPA très riche et très positif pour la deuxième année consécutive. Fier de ce bilan, le président a chaleureusement remercié et renouvelé sa totale confiance en son équipe de direction et en son comité exécutif pour le travail accompli. Après la validation du rapport financier de la SCFPA qui témoigne de la bonne santé financière de l'association, le deuxième moment fort de l’AGA fut la discussion sur les espaces de la SCFPA et l’entente liée à cet effet avec le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). Il a été question de soumettre à l’assemblée la suite à donner à l’entente signée en 2013 et qui arrive à son terme en août 2016. Plusieurs solutions ont été présentées afin de sortir de la situation précaire que connaît la SCFPA depuis 3 ans. Le président a expliqué à ses membres que la situation semblait préoccuper le CÉF et que le président du Conseil scolaire fransaskois (CSF), Alpha Barry, s’engageait à trouver une solution durable et confortable pour la communauté de Prince Albert. Rappelons qu’en 2013 la SCFPA avait du libérer ses espaces à l’intérieur du Carrefour fransaskois en faveur de l’expansion de l’École Valois et louer des bureaux à un autre endroit. L’organisme de Prince Albert aimerait récupérer les quelque 1 millions de dollars qu’il a investi dans l’édifice. A ceci les participants de l’assemblée ont répondu clairement en laissant la responsabilité au conseil exécutif de gérer le dossier de façon très étroite avec le CÉF et les élus du CSF. Même si le recours en justice était dans les discussions, il a été clairement décidé de maintenir une pression médiatique et politique sur le gouvernement, le ministère de l’éducation et le CÉF et de revendiquer les dédommagements promis par ce le CÉF dans l’ancienne entente. Pour donner le mot de la fin à monsieur Dubé, celui- nous a confié qu’il se félicitait de la confiance que l’assemblée a manifesté à son égard, non seulement pour le bilan de la programmation mais aussi pour la stabilité financière, sans oublier pour le lourd mandat de négociation avec le CÉF. Partager Imprimer