Communication 5 mars 2015 L’APF appuie la plainte déposée devant le Commissaire aux langues officielles par la sénatrice Maria Chaput L’Association de la presse francophone (APF) appuie la plainte déposée cette semaine devant le Commissaire aux langues officielles par la sénatrice Maria Chaput au sujet du non-respect de la Partie VII de la Loi sur les langues officielles par le Fonds du Canada pour les périodiques.
5 mars Femmes Le féminisme ne s’est pas fait en un jour Je parle de féminisme avec une connaissance. On ne s’entend pas. Pour certains, le féminisme a ses dérives, mais pour...
Nouveaux parcmètres à Saskatoon : une façon différente d’acheter du temps! De nouveaux parcmètres électroniques fleurissent partout au centre-ville en remplacement des vieilles machines à...
Visite au Carrefour Horizons Le 26 février dernier, les étudiants du Certificat en français langue seconde du Département de français de...
Célébration du Mois de l'histoire des Noirs à Mgr de Laval REGINA - Le 27 février 2015, Dans le cadre du Mois de l’histoire des Noirs, une soixantaine d’élèves de...
Les voix de la relève autochtone au Storytellers Festival Regina a vécu une semaine dynamique alors que plusieurs événements ont eu lieu au Artful Dodger Café, dans le cadre du...
7 décembre 2017 Laurent Desrosiers 30830 2017, Société, Histoire et patrimoine, Les timbrés Le centenaire de l’explosion d’Halifax Le timbre commémoratif de l'explosion d'Halifax. C’était le 6 décembre 1917. Les carnages de la guerre 1914-1918 tiraient à leur fin. Ce jour-là, une autre sorte de carnage s’est produit, cette fois loin des champs de bataille européens, en Amérique du Nord, précisément à Halifax. Halifax était une ville d’environ 50 000 de population. Avant la guerre, elle souffrait des effets de la grande Dépression et de la chute de l’économie mondiale. Avec la déclaration de la guerre, elle est devenue une fourmilière d’activité. Le port de mer était le centre de toute cette effervescence. On expédiait vers l’Angleterre et l’Europe des millions de tonnes d’armes et de munitions, de blé, d’aliments de toutes sortes, et tout le nécessaire pour soutenir la guerre. Or, un accident se produisit dans le port. Une collision. Une collision entre deux navires, le Mont Blanc, chargé d’explosifs et le Imo. Pourquoi? Erreur humaine? Manque de manœuvrabilité d’un ou l’autre navire? Étroitesse du chenail d’accès au bassin du port pour ces deux navires gigantesques ? Un peu de tout, sans doute. Des flammèches produites par le bris de ferraille causèrent un incendie de produits très inflammables à bord du Mont Blanc. Un immense nuage de fumée noire attirait les curieux de la ville quand l’explosion se produisit, l’explosion la plus puissante créée par l’homme avant l’explosion atomique d’Hiroshima, en 1945. Les ondes de choc et le tsunami frappèrent Richmond, ce quartier d’Halifax où se trouvaient écoles, hôpitaux, églises, usines et résidences. La déflagration laissa près de 2 000 morts et plus de 9 000 estropiés. Richmond fut complètement rasé. Le choc fit éclater des fenêtres à Truro, 100 km plus loin. Le timbre pour commémorer cette tragédie a été émis le 8 novembre, soit un mois avant son centenaire. Les artistes du timbre ont combiné des illustrations du port d’Halifax et la page couverture du journal Halifax Herald au lendemain de l’explosion. C’est un timbre carré de 32 mm x 32 mm de valeur permanente. Postes Canada a imprimé en 4 couleurs 140 000 livrets de 10 timbres chacun. Partager Imprimer